*̩̩͙❆ - IN WHICH : Hawks décide de te te faire un petit coucou sans te prévenir. (Fluff)
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— C'est moi !
La voix du héros ailé résonne dans ton appartement. Ce soir, il a décidé de venir te rendre visite à l'improviste. Seulement, son appel est suivi par un silence complet. Il tente une nouvelle fois d'appeler ton prénom, mais tu n'apportes toujours pas de réponse. Alors, après avoir retiré ses chaussures, Hawks se dirige vers ton endroit préféré : ta chambre. Lorsqu'il l'atteint finalement et qu'il t'apperçoit assise à ton bureau, un casque sur la tête et les yeux rivés sur l'écran de ton ordinateur, un sourire fraye immédiatement son chemin au creux de ses lèvres. Ta tête et le haut de ton corps se balancent de droite à gauche (probablement en rythme avec la musique qu'il peut à peine entendre s'échapper de ton casque) tandis que tes doigts pressent touche après touche : tu es entrain de travailler. Une idée lui vient soudainement à l'esprit, celle-ci change son sourire attendri en un sourire malicieux. Il est presque déjà entrain de rire lorsqu'il envoie une de ses plumes dans ta direction. Cette dernière caresse ton oreille droite, ce qui te fait sursauter. Tu sembles te figer suite à la sensation, cependant tu t'agites une nouvelle fois lorsque la plume caresse ton poignet. Ne voulant pas t'effrayer jusqu'à la crise cardiaque, le blond ricane une dernière fois dans son coin puis fait glisser sa plume contre le bout de ton nez avant de finalement faire en sorte de placer cette dernière pile face à toi. Tu sembles la fixer un petit instant, puis tu finis par retirer ton casque.
— Keigo ?
Ta voix est hésitante au premier abord, mais lorsque tu te retournes et le vois appuyé contre l'encadrement de la porte de ta chambre, toute trace d'inquiétude semble s'effacer de ton visage comme par magie.
— Quel imbécile, tu m'as fait peur tu sais !
Hawks rit de nouveau et son rire te réchauffe le cœur. Il marche jusqu'à toi jusqu'à enfin pouvoir t'entourer de ses bras, chose dont il avait rêvé tout au long de cette éprouvante journée. Sa tête repose au sommet de la tienne, il tente d'apprécier au maximum la sensation de tes caresses contre ses bras découverts en fermant les yeux.
— Dure journée ?
— Hmm. J'avais envie de te voir. Tu m'as manqué. avoue-t-il dans un semblant de murmure.
— Toi aussi tu m'as manquée Keigo. murmures-tu à ton tour.
