À Whitesboro, les Black Bikers ont toujours été la loi.
Cléa Dumphreys et Alexander Swan se sont rencontrés par hasard et ont vu leur relation évoluer au fil des jours et des semaines pour devenir l'un des couples les plus mythiques de Whitesboro.
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Lorsque ses lèvres s'écrasent contre les miennes, absolument plus rien autour de nous n'a de sens. Je me raccroche à lui de façon désorganisée, précipitée et impatiente.
Depuis qu'il est arrivé dans mon appartement, mon corps entier réclame le sien et maintenant, je ne vois rien d'autre que ça. Cette finalité.
J'ai envie de lui et il a envie de moi. Ce n'est pas le Alex dépendant de la drogue qui me parle, mais l'homme. Ce n'est pas le Alex confus et perdu qui cherche les extrêmes pour ressentir des choses, mais le Alex qui éprouve des choses simples sans se forcer.
Lorsqu'il enroule ses bras autour de mes hanches pour me soulever du sol, mon esprit s'envole et je m'accroche à lui en enfonçant mes mains dans ses cheveux. Ils ont poussé et je trouve ça absolument incroyable de pouvoir les tenir alors que sa langue caresse la mienne.
J'ai envie de m'habituer à ça : ses cheveux dans mes mains, ses lèvres contre les miennes, ses bras autour de moi, son odeur partout, son désir, son empressement, sa chaleur. J'ai envie de croire que cet instant n'est pas simplement de l'envie, mais du désir. Le désir de mieux connaître l'autre, de partager, de se donner.
Je quitte enfin ses cheveux pour tirer sur son tee-shirt et ce n'est que lorsqu'il se recule que je reprends mon souffle. Il retire son tee-shirt et commence déjà à enlever le mien.
Je suis habillée d'un long tee-shirt et d'une culotte. Alors, lorsque mon haut vole dans le salon, je suis pratiquement nu et son corps s'immobilise. Il me regarde, m'observe, me dévore et finit par m'attraper pour me soulever du sol et me plaquer contre le mur, ma poitrine à hauteur de son visage.
Et sa bouche se referme aussitôt sur mon sein, sous un de mes couinements. Il me mordille, suce, aspire le téton alors que je sens déjà mon clitoris pulser contre le coton de ma culotte trempée et je dois tirer sur ses cheveux pour qu'il arrête, mais il n'écoute pas. Il ne fait que changer de sein et me faire grogner encore plus fort en plaquant sa main entre mes cuisses.
Quand il sent l'humidité sous ses doigts, il siffle et tire sur mon téton en redressant le visage, plantant son regard dans le mien. Il esquisse un petit sourire tout en décalant ma culotte sur le côté pour laisser ses doigts se balader sur ma peau fragile.
— Tu es trempée, mon ange.
Son doigt ne me laisse pas le temps de répondre et s'enfonce dans mon vagin d'un mouvement rapide et ferme. J'étouffe un cri en balançant ma tête en arrière alors qu'il entame ses mouvements tout en suçant de nouveau mes tétons l'un après l'autre.
Tandis que ses doigts s'enfoncent en moi, son pouce malmène mon clitoris jusqu'à me faire crier, mes ongles enfoncés dans ses épaules. Je ne peux plus respirer, c'est si bon que j'ai envie de pleurer d'autant plus quand il suçote et pince mes tétons.
Il s'occupe de chaque partie de mon corps, sans oublier mon plaisir. Alors, lorsque je sens mon orgasme commencer à crépiter dans mes jambes et remonter jusqu'à ma tête, je la secoue en enfonçant mes ongles dans ses épaules.
