Le jour mettre le masque souriant pour acquiecer les bonjours,
Le soir les marques fantomatiques lâchant leur dévolues sans détour,
Lentement elles ravivent leurs sensoriel implicite,
Reviviscence des moments tacites,Sourdes horreurs,
Douce douleurs,
Charmantes erreurs,
Encore une valse de frayeur,Rythmes lancinants sous-jacent,
Système nerveux indépendant ,
Hyper vigilance en réaction,
Un passage du passif en pleine représentation,Suivre cette danse sans plus vraiment d'importance,
Le temps d'une traversée cicatrisante de ces brefs instants,
La marque s'estompe au fur et à mesure d'un avancement,Renaître sans artifices ni paraître,
Juste un souffle disparate aux allures de vieilles lettres,
Nettoyage d'un être,
Un avenir peu maintenant apparaître.Les poèmes d'Iris