Encore une fois plongée dans un couloir lugubre,
Le visuel fond toute les formes de sculptures,
Les couleurs upra lumineuse ou quasiment noire pleine de stupeur,
Les battements de cœur s'emballent accompagnés de grosses sueurs,
Le sol bouge comme le bateau en plein naufrage,
Les murs vascilles malgré l'horizon au large,
Divergences de distance à en perdre le pas banal,
Des sables mouvant à même son cérébral,
S'accrocher là où les repéres trépasses,
Lutter là où il est tabout de prendre place ,
Certaines réalités malaises,
Là où un système bien rodé à pris autant d'aise,
La santé étant une réelle priorité,
Oser se faire confiance là où au départ on a pue être estropié,
S'informer, s'affirmer là où jusqu'à présent il y a eu erreur de diagnostique par manque de connaissances,
Manque d'objectivité par le billet du trafic d'influences,
Mettre en avant le consentement éclairé,
Là où est cette possibilité d'élargir les alternatives des causes à traiter ,
La solution ne se trouve pas uniquement dans le cachet,
Encore moins au long terme mais...
Dans un complexe environnementale actionnant la personne dans sa complexité.
Les poèmes d'Iris
