À l'orée de la mort peu se trouver le début d'une vie,
Quand l'ombre devient le terre-plein de ce qui se fini,
Plonger tête baissée dans l'obscurité,
Oser se foutre des conventions pour retrouver le pouvoir de se sauver,Rien est défini encore moins définitif,
Toute mouvance est éphémères,
Même les situations états les plus corrosifs,
Dans chaque seconde qui passe une fleur peut éclore,Accepter la mort pour mieux la feindre,
Accepter l'enfer pour s'envoler loin de ces lourds méandres ,
Arriver à la fin d'un parcourt de sourds,
S'accrocher à sa réalité pour mieux la résoudre,Rien ni personne ne peut comprendre cette réalité tant qu'il ne l'a pas lui-même traverser,
Chaque être muni de son empreinte,
Fait face avec ce qui lui est, à sa portée,
Chaque tempête se déroule à partir de sa propre cohorte en dote,Ne pas s'identifier à n'importe quoi pour palier à sa solitude,
Ne pas se faire endoctriner par n'importe quel beau discours de lassitude,
Garder son optique de faits,
Nous avons tous notre propre identité face à l'adversité.