Plongée dans une nébuleuse désastreuse,
Le cœur choqué à presque atteint la pointe de la faucheuse,
Pas d'autre solution que de traverser l'épreuve,
Accepter l'enfer des travers symptomatiques hautement fiévreuse,Prendre l'initiative d'un sevrage sauvage,
À défaut d'accompagnement d'un secteur en plein saccage,
Quand la mort autour de soi est omniprésente,
Les priorités prennent une tout autre perspective actionnante,Choisir l'agonie en affection longue durée,
Ou l'agonie intense en horreur mais abrégée,
Au risque d'en mourir subitement mais essayer à tout prix d'arrêter...Dilemme aux allures saugrenues,
Est-ce réellement si farfelues ?Quand le parcourt sous traitements n'a plus aucun saveur,
Plus aucun espoir,
Plus aucune humeur,
Plus aucune perspective même dérisoire,Un avenir à errer derrière les murs de l'oublie,
Entre punitions contentions médicamentations,
Surtout pas de temps pour l'ouverture d'un dialogue averti,
Rester hermétique sur des positions qui n'ont pas de solutions...Perdre l'âme !
Dans ces rouages du vague à larmes ,
De manière conventionnelles par les directives d'un dogme,
Ou par un sevrage sauvage quitte à y perdre totalement l'ancrage d'un organisme déjà en alarme...Quand le parcourt permet l'espoir de se lever le lendemain,
Les perspectives sont envisageables pour un long chemin,
Quand la faucheuse danse à chaque instant main dans la main du soir au matin,
Les décisions sont prises d'un angle de vue autrement opportun...Ne pas interpréter ce qui nous dépasse,
Juste accepter d'entendre les causes avant qu'elles nous trépasses...Les poèmes d'Iris