Brouillard tyranniques,
Est-ce un défi relevant du satirique ?
Où est le vrai du faux dans cette énième chronique ?
Doute méfiance à outrance,
Une perte totale de confiance,
Lutter pour ne plus sombrer dans une certaine décadence,
Les mots sans fond se font de plus en plus creux,
Les dires deviennent plus violent à chaque soupirs,
Une ambivalence n'ayant plus vraiment de sens,
L'intuition parle mais comment ne pas la confondre avec des traumatismes en défiances ?
L'ère moderne souffle constamment en airs de dilemme,
Entre réalité et développement personnel en rengaine,
Entre l'interne et l'externe,
De constantes rivalités qui s'enchaînent,
Le système nerveux aurait besoin que l'environnement le préserve,
Toutes ces absurdités l' exacerbe,
Le dommage ne peut se rétablir dans les fourberies de ces mages,
Mais rien n'est prévu pour ce petit privilège en marge,
Seule à affronter les vagues déclenchées par l'ignorance naïve ?
Le retrait sera à la longue un définitif...
Coupé de sa véritable essence,
Être humain perds réellement tout son sens,
Le cœur déjà fatigué touche la perte de son actif.
Les poèmes d'Iris...
