Oser donner son cœur tout juste cicatrisé de lourdes douleurs,
La peine de nouveau demeure,
Encore devoir verser des pleurs,
Pour un être qui n'avait pas de réelles valeurs,Lasse d'ouvrir ce genre de cicatrices,
Le retour laisse toujours un sacrifice,
Les prières pour sortir du supplice,
Belles promesses en prémisses ,Une vague arrachant le masque,
Un bout de réalité prenant place,
Le rêve s'efface...
Plus d'espoirs dans cette arche,Le tombeau à même le ventre,
Se refermer dans son antre,
Là où les murs protège l'objet du pécher accablé,
Soigner encore ce cœur blâmer...Survivante de multiples maltraitances,
Survivante de plusieurs agressions encore suintantes,
L'huître préfère retourner chercher le fameux huite renversé,
Là où le calme et la paix ne font qu'un avec l'esprit acculé...Ne plus donner sa clé,
Elle est bien trop sacrée....
Le deuil d'un genre humain à présent hermétiquement cloisonné...Les poèmes d'Iris...