Une violente dispute éclate,
Des coups, des cris et de belles claques !
Les yeux brillent des larmes aux abois,
L'intensité des mots prennent le vice des formes sur tout ces aléas,
Imbibé, dans l'aquarium de fumée elle se bat...
Un couteau passa dans ses mains,
Elle se fit jeter dans le coin,
La main de son conjoint serra le point,
Sur sa gorge manuellement atrophiée,
Plus de son pour crier,
Respirer ? Un luxe momentanément hors de porté,
La lame qu'elle prit servi...
Non pas pour poignarder l'infâme porc alcoolique,
Juste un vieux réflexe asservis...En se dégageant la main à la dague,
Elle se poignarda à trois fois le côté droit ventral,
Pour reprendre un certain contrôle des risques de cette vaste blague,
Croire en l'éphémère de cette mauvaise vague,
Qui l'a libéra de la strangulation à bout de bras,
Le méchant devenue en un rien de temps,
Petit porcinet prit de panique,
Car un appel aux flics...
Alcoolisée, défoncé, elle fracassée,
Il serait forcément embarqué...
Mais la soumise prit sur elle,
Pansa ses trous de sa chair corporelle,
Pour se sauver des griffes enragées du pseudo sculpteur,
De l'âme au corps,
Des coups au cœur,
Toujours plus de peur en pleure,
Hospitalisée pour avoir des points ... Pourquoi faire ?
Elle aurait prit le risque de se faire enfermée en HDT,
Prie en mains par les bon soins des tortures psychiatrique conventionnée,
Elle n'en fit rien,
Elle voulait juste la paix mais en vain...
Alors elle s'enferma dans sa salle de bain du soin...
Son refuge là où elle se bulle,
Pour mieux se protéger de ces instant lugubres,
Où le bon sens n'a plus vraiment d'importance,
L' automutilation à stoppé net l'être de l'outrage,
De ces constants affluents,
De violence allant toujours en s'accentuant ...Les poèmes d'Iris...