Maison de Laura
Rue217Samedi ~17h48~
Nous sommes arrivés devant une belle maison, une villa. Ça se voit qu'elle est bourrée de tunes.
On s'avança et finalement on atteignit une porte en bois, elle inséra la clé et l'ouvrit.
Nous sommes entrés dans sa maison et oh mon dieu c'est gigantesque, l'entrée donnait vue sur le salon qui possédait un lustre gigantesque, des canapés très longs qui faisaient face à une télé grand écran élargie et accroché au mur qui était en marbre noir et blanc. Tout le salon était en noir et blanc.
— t'habite seule ici?!
— pas tout le temps.
— ah d'accord.
— mais où sont tes parents ?
L'atmosphère se tendit, le silence s'installa, elle répondit d'une petite voix.
— ils sont décédés...
Je me suis sentie désolée pour elle.
— viens on va directement dans ma chambre. Dit-elle rapidement en changeant de sujet.
— je comprends ce que ça fait de perdre un être cher... je suis passé par là.
Elle me sourit.
— mais bon ne cassons pas l'ambiance on a une fête ce soir.
Nous sommes monté à l'étage et on entra dans une pièce qui était manifestement sa chambre.
C'était vraiment énorme.
—viens, je vais te montrer mon dressing tu pourras choisir ce que tu veux pour la fête.
— je veux juste quelque chose de simple et non extravagant. Dis-je en lui jetant un regard suspect.
Je sais exactement ce qu'elle veut que je porte.
—oh aller Llona en plus c'est ta première fête ici.
Dit-elle en me suppliant avec ses yeux de chien battu.
— bon d'accord mais restons tout de même dans la simplicité.
— d'accord à condition que c'est moi qui choisisse ce que tu vas porter. Dit-elle toute excitée.
— je n'ai pas d'autre choix, je sais.
Elle ouvrit une porte qui mena directement dans une pièce remplie de vêtements luxueux.
—c'est une boutique ici non?! Dis-je stupéfaite.
— non... dit-elle en éclatant de rire.
— Attends c'est toi qui a acheté tout ça ?
— non mon cousin.
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PROFESSEUR sur MESURE
Storie d'amoreQuand on pense que «l'habit ne fait pas le moine» le dicton dit vrai, lorsque la haine est trop vive, elle nous met en dessous de ce que nous haïssons, les sentiments changent, le bonheur parcourt la haine. Qui aurait pu croire qu'il menait une doub...