Soleil et Lune

-Chapitre 5 -

Le week-end passe à folle allure, je vais comme d'habitude au lycée mais quelque chose change, c'est sûr. Je franchis le portail avec des regards visés. On me voit plus comme avant mais avec le plus grand de respect. Encore plus que les autres princes et princesses.

Nous nous dirigeons vers le cour de biologie qui est à l'autre bout de l'académie.

– Pourquoi autant de brouillard aujourd'hui ?! Se pleins Aria

– Surtout avec ce cour en plein forêt...

Arrivé au pied de la forêt, tout le monde se tait et avance avec hésitation. La prof est là avec c'est carte...

– Bonjour ! Approchez ! Approchez, nous signal M. Meriati. Aujourd'hui, nous allons faire une chasse au trésors. Vous aurez une liste de plante à trouver. Attention à ne pas confondre avec les plantes toxiques.

– Chouette ! murmure Lila

Une troupe d'excitation se réveille. Mme Meriati essaye de nous faire taire mais rien est à l'écoute alors il nous fait sursauter avec un bruit assez sonore que toute la classe se taise en moins d'une seconde.

– Merci... Alors je disais... La chasse au plante ne sera pas évalué mais individuelle.

– J'espère qu'on aura la même carte.

– J'espère aussi Lila, répondais-je en regardant la carte.

– J'avais oublié personne à la même carte et vous avez une heure. Ça commence maintenant !

Je me lance dans le brouillard sans voir où je vais. Je trouve une première plante de ma liste. Plus que cinq à trouver. J'entends un son sourd et élevé comme un cris de dragon... Un défiler d'oiseau passe au dessus de ma tête et un petit lapin à toute vitesse. Que se passe-il ? Quelqu'un est à côté de moi mais je ne vois pas c'est qui...

– C'est qui ? Tu sais se qui ce passe ?

Aucune réponse...

– Royan, c'est toi ?

Je vois le visage mais ce n'est pas celui d'un garçon de ma classe mais... Un inconnu avec un poignard pointé à quelque centimètre de mon visage. Je l'esquive mais m'attrape par derrière la lame vers mon coup. Il prononce une phrase assez étrange « Vivet in obumbratio » avant que je lui écrase le pied. Il m'attrape par le bras, je lui donne un coup pied en pleine figure. Il l'effleure ma peau et je cour à l'instinct. Il n'est pas seul, deux autre sont à ma poursuite. Je lance un sort de repoussement qui laisse gagner du temps. Je remarque que du sang coule sur mon bras. Je n'ai rien pour le couvrir. Je m'écroule au pied d'un arbre. Je crois bien que je les semer.

– Lili, ça vas ?

– Royan c'est vraiment toi ?

– Oui bien sûre. Qu'es qui c'est passé ? Tu saigne !

– Des gens ont voulu me tuer...

– Des quoi ? Bon, allons voir le prof. T'arrive a marcher ?

Je hausse les épaules et tousse un peu. La douleur s'amplifie et traverse mon bras. On ne voyait rien dans la brume. On retrouve Aria quelque pas plus loin.

– Salut, alors bientôt terminer ?... Il vous reste quoi ?

Elle s'avance pour voir notre carte.

– C'est quoi se brouillard ? On se vois à peine ?, se plein-elle à nouveau, Lili qu'est-ce que t'as ?

– Victime d'une tentative de meurtre, répond Royan.

Elle inspecte ma plais, et enlève son foulard pour l'entourer autour de mon bras.

– Ça fait mal mais t'inquiète p...

À peine elle a fini sa phrase qu'un crie très sourd comme toute à l'heure retenti à côté de nous.

– Les gens de tout à l'heure. Ils m'ont rattraper chuchote-je avec le peu voix qui me reste qui s'infiltre principalement dans la douleur.

– Qui est-ce ? demande Royan.

– Vivet in obumbratio, murmure une même voix identique à celle mes agresseurs.

– Vous avez entendue ?

On se lancèrent des regards inquiétant puis à l'horizon. Aria sort un petit poignard et se prépare à la moindre attaque.

– Aria d'où tu sort ça ? C'est interdit normalement, remarque Royan

– Chut...

– Attention !

Je lance un signal de détresse très peu repérable. Les trois personne tournent autour de nous. Aria enfonce son arme sur l'un puis il disparue en poussière noire. Quelque chose les fait fuir. Nos regards se tournent vers la direction et remarquent que c'était que M. Meriati.

– Vous allez bien les enfants ?

– Ça vas, un peu écorché pour certaine, Aria en me montrant avec sa petite couche humoristique gâcher par son inquiétude.

– Mademoiselle Cloose, qu'est-ce qui c'est passé ?

Je lui raconte vite fait sur le chemin et demande la signification de « Vivet in obumbratio »

– Ce n'est pas rassurant. Je crois que ça veut dire Vive les ombres, dans une des langues de Terre.

– Vraiment ? Ça veut dire que c'est les ombres qui nous ont attaqué, résonne Aria.

– Il faut regrouper tout le monde et rentrer maintenant. Mademoiselle Cloose ! Allez-y directement accompagné par Aria, nous ordonne le prof.

Nous nous précipitant vers le bâtiment en ayant la même question posé en boucle sur notre situation dès qu'on nous vois. La principale accoure vers nous.

– Vous allez bien ? Je suis au courant de... Allons l'infirmerie. Je vais prévenir le palais.

Au palais, le conseil est réunis. Je tripote mon bondage pendant que certain tourne en rond.

– Je crois que le meilleur moyen est que la princesse ne vient plus au lycée ou dans des lieux sans surveillance. Elle est comme même était victime d'une tentative de meurtre des ombres et d'autre ont eu lieu. Regarder cette article votre altesse, recommande le général Koffee

Le célèbre dresseur de dragon, Niko Fliwing mort lors d'un vol ce matin même. Ce serait à cause d'une perte de contrôle. Il a fait une chute de plusieurs mètre tant qu'au dragon, il est introuvable. « C'est un accident, le temps n'étais pas très bon aujourd'hui et il étais pas bien mais il a voulu se détendre par un petit vole » témoigne un de ses proches.

– Hé ! Vous savais que je suis là.

– Je suis désolé Lili mais je crois que se serait le mieux jusqu'à que la situation s'améliore. Je n'ai pas envie de perdre à nouveau...dit la reine en s'arrêtant sur ce dernier mots avec tant de peine.

– Je sais, je comprend mais ça veut dire plus de sortie.

Elle hoche la tête.

– Votre Altesse, on vient d'apprendre qu'un enfant de huit ans a été tué dans la forêt et il porte des marques noirs, annonce la secrétaire personnel précipité.

– Quel peuple ? demande ma désormais tente Miss Calista.

– Étoiles.

– C'est affreux ! avoue Sa majesté, Léria.

La fameux minute de silence de reconnaissances s'introduit dans l'ambiance.

– Prénom ?

– Joanero Paretta, répond la secrétaire à Miss Calista.

– Un élève de la plus grande école des étoiles et si jeune avec tout espoir fini. Les familles sont-il au courant ? Se sensibilise Miss Calista.

– Oui, nous avons donné la compassion que vous avez demandé, affirme Général Koffee.

– Bien !

Sécurité renforcer, pas le droit de sortir en dehors du palais... Je ne supporte pas de passer tout mon temps à l'intérieur. Au moins le jardin ? Même pas.