dark obsession

Chapitre 18

FLASHBACK

Novula ~ 3 ans avant ~ Russie

TW: VIOLENCE ET MANIPULATION

La journée à été plutôt rythmé aujourd'hui et les cours essoufflant. Je rentre sereine à mon appartement. Mon sac de cours pèsent lourd sur mon épaule et la chaleur de l'été commence à s'installer dans la ville de Sotchi. J'arrive au parking et déverrouille ma voiture puis monte à l'intérieur. Je roule une quinzaine de minutes avec Chase Atlantic a fond. Quand j'arrive et ouvre la porte de mon appartement, une forte odeur de cigarette s'attaque à mes narines. J'allume la lumière et voit que les rideaux sont rabattu. La table basse de mon salon est parsemé de paquet de cigarette à moitié ouvert et des bières sont aux pied de mon sofa.

-Merde. Dis-je d'une voix tremblotante.

Il est revenu. Ma panique prend le dessus et je pose mon sac à la va vite. Je cours jusqu'au rideaux et les ouvre, laissant pénétrer la lumière rayonnante du soleil. Je me retourne d'un coup et aperçois avec horreur qu'il est là, allongé sur mon canapé en cuir.

- Tu m'a manqué. Me chuchote t-il.

Je recule, chancelante, et attrape le couteau que j'avait laisser ce matin. Son odeur nauséabonde est partout, il n'a pas changer, ses yeux perçant me transperce me faisant trembler de la tête au pied, ses cheveux noir et ses mains remplis de cicatrices me font mourir sur place :

- Quesque... qu'est ce que tu fais ici putain. Dis-je en réussissant a me contrôler.

- Je suis venue m'excuser.. Dit-il d'une voix dépourvue de sentiment.

Je suis a deux doigt d'éclater de rire, s'excuser ? La haine reprend le dessus et je lui hurle :

-T'excuser ?! Putain, tu te prend pour qui, merde !

Il se redresse lentement et croise ses mains entre eux. L'air est pesante, ma respiration est sifflante et je lève la tête pour ne pas pleurer. Je pensais qu'il était partit de ma vie mais le revoila. La peur et la haine me consume et je pointe le couteau dans sa direction :

- Comment t'es entré.

Il fouille dans sa poche et extirpe un trousseau de clé avant de l'agiter et de chuchoter :

- Tu as oublié de changer ta serrure.

C'est un cauchemar sauf que je suis bien dans la réalité. Son air froid et glaciale me donne des frisons. La vrai question est comment j'ai pu tomber amoureuse d'un homme comme lui. La flèche de Cupidon m'avait transpercé mais j'avais essayer de la retirer, en vain. Ma conscience me crier que cette homme est instable et capable de tous mais je rester quand même, avide de réponse à mes questions rester en suspens:

- Quesque tu veux ? Je te connais, tu veux quelque chose. Dis-je en soupirant.

Il me regarde et éclate de rire, me donnant l'envie de le gifler. Mes dents grincent entre elles et je lève les yeux au ciel.

- Ce que je veux ? Quesque je veux Irina ?

Je déteste ce prénom, il me rappelait tant de souffrance que je l'ai changé.

- Apelle moi Novula.

- Pourquoi Irina ?

J'ai horreur de la manipulation qu'il a sur moi, cette pression qui vous ronge de l'intérieur jusqu'à ne laisser qu'un bout de chair. Il m'a détruite, absolument. J''ai du faire des thérapies, passer des soirées seule à hurler ou pleurer chez moi puis il a réveiller les pire facette de moi, m'a appris à magner un couteau comme personne, a failli m'initier au trafic de drogue et j'en passe. En fin de compte, il a toujours voulu que je coule avec lui et j'étais tellement naïve que je l'ai suivie dans son autodestruction. Ces cernes violette et ces ongles ronger me donner la confirmation.