Chapitre 19

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PDV : Novula

3h du matin

Je tombe violement de mon lit et me redresse precipitament.Ma vue est brouillé par les larmes et ma respirations est saccadé. Un sanglot étouffé s'échappe de mes cordes vocales et je passe une main dans mes cheveux en bataille. La peur m'embrase puis j'essaye de respirer normalement, en vain. Je commence à taper ma poitrine une fois, puis deux, puis trois, quatre jusqu'à ne plus m'arrêter. Soudain quelqu'un agrippe mon poing avant que je redresse la tête.

Devinez qui c'est ? Aurelio bien sur !

Je m'apprête a ce qu'il m'engueule pour tous le boucan que je fais sauf qu'il, à mon plus grand étonnamment, s'accroupis avant de me prendre timidement dans ses bras. J'hoquette de surprise avant de fondre en pleure, relâchant toute la pression sur mes épaules. Je ne sais même pas à quelle moment il est entrer dans ma chambre. J'agrippe ma cicatrice qui me ravive la douleur que j'avais ressentie cette journée là, cette journée qui ma bruler au fer rouge. Un putain de cauchemars. Un seule cauchemar peut me ruiner a jamais, me détruire en une seule seconde sans que je m'en aperçoive. Aurelio me chuchotaient des mots en russes que je ne connaissais pas totalement. Au bout de quelques minutes, je m'endors fatiguer pas mes pleurs incessants.

PDV Aurelio

je sors machinalement de mon lit, m'apprêtant à aller au toilette. Je marche dans le couloir et m'arrête quand un bruit sourd resonne. Le son provient de la chambre de Novula. Je me retourne et inspecte le couloirs. Des pleurs s'échappe de cette dernière. J'oublie mon envie pressante et marche machinalement vers ma nouvelle direction. Je pousse légèrement la porte et m'arrete à l'entrebâillement. Jamais je n'avais vue une personne autant paniqué et perdue. Elle commence à se taper sur la poitrine d'une manière violente et brutale. J'avance vers elle à grand pas et attrape son poignet avant de lever les yeux sur elle. Son visage qui rayonnait autrefois et maintenant rempli de larmes ruisselant le long de ses joues s'arrêtant sous son menton. Cette fille avait vécue des choses qu'elle ne pourrait pas expliquer meme si sa peine était massive. Je la pris doucement dans mes bras pour l'étreindre et la consoler. Même si je savais que quand elle se réveillera, je ne porterais surement pas mes couilles et me comporterai comme un connard avec elle, je voulais juste pour une fois diminuer sa tristesse. Je lui chuchote que tous ira bien et le restera.

PDV : Novula
Quand me réveille, la lumière traverse mes volets absorbant toute trace de noirceur. Je papillone des yeux, sentant mes cils encore humide.Je passe une main dans mes cheveux me rappelant l'événement d'hier soir.Je me lève en essayant d'être aujourd'hui la plus normale comme tout autre journée. Je sors de ma chambre et marche machinalement vers la salle de bain laisser entrouverte, je passe la tête entre l'entrebâillement de peur de croiser mon coloc. Voyant qu'il n'ai pas la, j'entre et verouille a clé. Je m'adosse au lavabo en laissant échapper un soupir. J'ai besoin de me dépenser aujourd'hui. Je me brosse les dents et ressort en deverouillant me dirigeant vers ma chambre. Je sors qu'elle vêtement de sport de mon dressing avec la brosse dents coincé dans la bouche.

 Je sors qu'elle vêtement de sport de mon dressing avec la brosse dents coincé dans la bouche

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J'étale les vêtements sur mon lit et retourne a la salle de bain. Je me rince la bouche et regarde l'heure sur ma montre qui m'indique 11h25. Je finis de m'occuper de mon visage et me dirige vers la cuisine ou je croise Aurelio. Il est allonger sur le canapé a regarder une émission de voiture. Mon ventre gargouille bruyamment attirant son attention. Il se retourne vers ma direction et fais le regard de l'ascenseur sur mon corps.
Pyjama fourrure + cheveux non coiffé+ tête de zombie = égale fou rire assuré
Je détourne le regard et cherche une pomme dans le panier a fruit. Je croque le fruit et prend une boisson énergisante que je repose sur le plan de travail. Je me retourne et marche jusqu'a ma chambre pour mettre mes affaires et prend un sac. Je fourre des objets dedans et met quelques bijoux sur mes poignets et mon cou que j'accompagne avec des lunettes de soleil, le style avant tous. Je calle mon sac sur mon épaule et avance vers la porte d'entré.
- Tu vas où ? Me stoppe une voix.
Je me retourne et remarque le regard d'Aurelio. Des papillons me montent dans le ventre et je repond d'une voix normale :
- A la salle de sport.
Je le vois ouvrir la bouche avant de se raviser et fermer cette dernière. Il se contente d'un regard avant de se retourner et dire un simple ok. J'hausse les épaules et sors de l'appartement avec une boule au ventre.
~{2 heures plus tard }~
Je suis tous simplement exténué mes jambes ne me portent plus et la chaleur de mon corps m'ettoufent. Le sport m'aide on va dire a réguler mon stress et tous les pensé négative qui m'empêchent d'avancer, c'est comme une manière pour moi d'exterioser tous mes problèmes. Je monte lourdement les étages de l'immeuble et entre dans l'appartement. J'analise les environs et remarque Lorenzo près de la fenêtre. Son expression est froide comme si il chercher quelqu'un ou que quelqu'un le chercher.
- Quesque tu regarde ? Je demande en m'approchant de la fenêtre.
Sans que je m'y attende, d'un geste soudain, il ferme les rideaux avant de se retourner rapidement.
- Rien pourquoi ?
Je fronce les sourcils et contourne son corps massif, j'ouvre les rideaux mais ne perçoit rien.
- Tu vois y'a rien. Dit-il
Je le regarde quelque secondes avant de me retourner et déposer mon sac de sport. Aurelio est devant l'ordinateur pianotant des choses, une cigarette accroché au lèvres.
- Tu nous accompagne aujourd'hui ? On va faire du bowling avec Aurelio. Annonce Lorenzo
- Je peux pas, j'ai promis a Chiara d'aller faire les brocantes avec elles, je vous rejoindrai peut être après. Répondis-je en sortant mes affaires de mon sac. Je regarde mon téléphone pour vérifier si Chiara n'a pas annuler la sortie et regarde ma messagerie qui est pleine a craquer littéralement. Plusieurs appels de mon travail ou de mes parents défilent sur l'écran jusqu'à ce que je m'arrête sur un appel en particulier. Mon cœur arrête de battre et j'ecarquille les yeux. C'est deux mots coupe ma respiration en 1seconde.
" Prison Kresty"

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