Chapitre 21

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Novula~ maintenant :

Tous ces souvenirs me répugnent, sauf qu'ils font partit de moi. Je regarde une nouvelle fois autour de moi et accélère la cadence de ma marche. Je passe nerveusement une main dans mes cheveux, sa se trouve tous ça je me l'invente, tous ces messages ne sont pas réel. Mais pourquoi j'y crois dur comme fer, si ce n'était pas vrai ? La panique monte quand je mets mon téléphone sur l'application appareil photo et que je vois une silhouette me suivre derrière moi.
-Putain, putain, putain. Je murmure.
Je tourne sur ma droite d'un coup et m'engouffre dans une petite rue parsemé de quelques personnes. Je mets ma capuche sur ma tête et marche en baissant la tête. Mon cœur tambourine dans ma poitrine mais je ne m'arrête pas et d'un coup une illumination atteint mon cerveau.
- La salle de dance.. je chuchote.
Je marche plus rapidement mettant en place un nouveau plan. Quelques fois je regarde discrètement derrière moi mais même si je ne vois personne, je jurerai qu'on me suis. Je sors un trousseau de clé et cherche la petite clé du bâtiment en marchant en même temps. Je prends la clefs et avance encore jusqu'à arriver a la hauteur de l'édifice. Je m'empresse de déverrouiller la porte et m'engouffre dedans. Je n'allume pas la lumière et m'approche de la vitre teinté après avoir verrouillé de nouveau la porte. Une silhouette passe rapidement, un mouchoir a la main. Mon sang ne fait qu'un tour avant que je me laisse glisser le long d'un mur.

- Oh putain... C'est bon c'est fini, il va pas te retrouver ici. Je murmure en essayant de me calmer.

Je me prend la tête entre les mains en essayant de calmer mon début de crise d'angoisse. Quelques minutes passent avant que je décide de relever de la tête et d'allumer l'interrupteur. La salle de dance n'a pas changer, toujours aussi grande avec ces miroirs somptueux et gigantesque. Juste après mon arrivé en Italie, mon psy m'avait charger de trouver une activité me permettant de chasser mes pensées négatives, c'est là où j'ai connu la dance. Je faisais souvent de la danse contemporaine par ce que je trouvais que les chorégraphies me représenter, c'était devenu un hobby pour moi, une libération. Mais la salle a fermer, manque de personnes, cependant la directrice était au courant de mes nombreux problèmes et disait que j'etais une élève remarquable alors elle m'a donner un double des clés de la salle pour que tout de même je vienne pour me libérer de mes démons. Je n'ai pas oser remettre les pieds ici a cause de la mort de cette dernière avec qui j'étais très proche et qui me comprenait mieux que ma psychologue mais revoir la salle me rappelle tous les bon souvenirs que j'ai vécu.

Je me relève et me place devant un miroir. Mes cheveux ont perdu ces boucles, mon mascara a couler et mon visage a perdu de toute ces couleurs.
Tu es moche
Moche
Moche
Moche
Je secoue la tête et regarde autour de moi, comment j'allais rentrer ? Bien sûr que je ne voulais pas rentrer seul après ce qui c'était passer je l'ai échapper de peu. Je triture mes méninges avant de trouver la seule solution qui me paraît raisonnable.
Appeler Aurelio.
- Putain..
Après ce qui c'était passer au gala, des hommes d'affaires étaient venu dans sa direction m'écartant de son chemin. Le seul moment où je lui ai parlé c'est là où j'ai fait mon cauchemars qui me terrifier. J'inspire et passe l'appel. La tonalité résonne dans l'appareil me laissant trembler de peur et de haine.
- Allo ? Novula ? Répond une voix que je reconnaîtrais en mille.
- euh.. désolé de te déranger mais est ce que tu peux venir me chercher ? Je demande en serrant les paupières.
- Tu peux pas revenir seule ? 
- C'est un peu compliqué.. alors c'est oui ou non ?
- Tu fais vraiment chier, envoie moi l'adresse.
Et il raccroche sans me permettre d'en placer en une.
Aurelio :

Je ne sais pas dans qu'elle merde elle s'est fourré mais le ton de sa voix n'indiquait pas bon signe. Je sors de la salle et envoie un message a Lorenzo pour lui dire que je rentre. Je marche jusqu'au parking du bowling et rejoins ma voiture qui rayonne de mille feu grâce au soleil.
Je m'introduis dans l'habitacle et met le contact. Le doux son du moteur résonne intriguant le regards des passants, quelques un s'arrête et siffle d'étonnement. Je sors du parking et m'engage sur la voie principale.

Quelques minutes après j'arrive près de l'adresse, c'est un vieux bâtiment abandonné et défectueux dont les fenêtres confirme leur ancienneté. Je me gare quelques mètres plus loin et observe les environs. Je commence a avancer les mains dans les poches en jetant des regards furtifs autours de moi non rassuré. Dans qu'elle merde c'était mise Novula ? Je me stoppe quand je remarque une personne rôder autours du bâtiment d'un air dangereux. Mes yeux s'écarquillent légèrement quand je remarque que cette personne a une arme à feu dans une de ses mains et un mouchoir de l'autre.
- Eh merde..je chuchote.
Je sors mon flingue coincé à l'arrière de mon jean et je m'avance discrètement derrière l'individu avant d'appuyer mon flingue sur sa nuque.
- Avance et ferme la. Je dicte sèchement.
L'homme ne proteste pas et obéis sans faire de caprice. Je le guide vers une petite ruelle a quelque mètre et le plaqué contre le mur avec mon pied. Mon regard dérive sur sa silhouette avant que j'articule.
- Quesque tu foutais là bas ?
- Je...je devais trouver quelqu'un. Répondit- il en fuyant mon regard.
- Qui t'envoie ?
- Je ne peux rien dire.
Je perd patience et lui tire une balle dans le genou. Il s'affale par terre en criant et je m'accroupis face a lui :
- Il y a une chose que je déteste par dessus tout tu sais ce que c'est ?
Il secoue la tête en reniflant et en tenant son genou de l'autre :
- Qu'on traque ce qui m'appartient.
Une balle dans la tête et ses souffrances s'arrete. Je fouille dans ma poche et dépose près du cadavre l'emblème de ma mafia ,une épée de Damoclès. Celui qui est derrière tous ça le saura. Je me relève et regarde mon visage a travers une flaque d'eau ou quelque goutte de sang et une mèche rebelle sont visible.
Je souffle sur la mèche et frotte les quelques goutte qui persiste.
Le physique avant tous.
Je m'approche du bâtiment abandonné et approche mon visage de la vitre pour tenter de percevoir quelque chose. Là porte s'ouvre d'un seul coup et je manque de tomber la tête la première, je me rattrape a un banc et dégaine mon arme.

- eh ! c'est moi ! 

Je relève la tête et souffle d'agacement ( et de soulagement ?).  Novula se tient devant moi, les yeux écarquillé et les joues rosées. Je ne sais pas comment réagir devant elle alors j'analyse les lieux.

- Une salle de dance ? Sérieusement ? Je ricane sarcastiquement.

- Au moins je suis pas morte. Répond elle en levant les yeux.

Elle éteins la salle et sors du bâtiment avant de se retourner pour me regarder droit dans les yeux et s'emparer de mes lèvres.

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                                                     Coucou ! Je voulais m'excuser de mon absence et aussi

                                                     pour les lignes qui paraissent serrés à max ;) Kisss ^^

dark obsessionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant