PDV Aurelio :
Je les suivaient quand tous à coup, une jeune fille s'approcha de moi et commença a m'embrasser fougueusement. Elle était très séduisante mais ce n'était pas le moment idéale pour ce genre de chose. Je me décala et m'apprêta à partir quand elle me donna un coup de pied dans le ventre m'aplatissant contre le mur. Je compris toute de suite c'était sa complice. Elle me sauta dessus et je l'esquiva. Elle se retourna et me griffa le visage. Du sang s'écoulait de ma joue gauche. Je la regarda avec un air furieux et lui jeta un verre a la figure. Elle se le prit sur le front et lâcha un juron. Je lui envoya une petite salière sur la gorge et elle tomba assommer. Je soupira de soulagement et couru vers les toilettes. J'ouvrit la porte et je vu la cible accroupit sur Novula, l'étranglant. Sa main était ensanglanté. Je pris une bouteille de vin sur une cuvette des toilettes et le frappa avec. Il se raidit puis s'écroula au sol.
Novula était sonné. Elle avait beaucoup trop bu. Elle essaya de se relever mais elle gémissait de douleur. Elle avait une cote fêlée. Je la pris dans mes bras et commença a la porter. Elle se débatta mais se laissa faire au bout d'un moment. J'envoya un message a Lorenzo pour lui dire qu'il pouvait se replier.
PDV Novula:
J'avait mal partout et surtout au côtes. Aurelio avait la joue en sang, je me demandais qui avait pu lui faire ça. J'aurai pu rigoler mais mes cotes me faisaient beaucoup trop mal. Nous arrivions à l'hôtel et Aurelio me porta comme si c'était une habitude a lui. Je n'avais pas voulu de son aide mais je n'avais pas trop le choix en fin de compte. Il déverrouilla la porte de la chambre et me déposa sur le lit. Lorenzo n'était pas encore là, nous avions du prendre un taxi séparément pour ne pas s'attirer de problèmes. Je releva un peu de ma robe et vu l'horreur. Une de mes cotes était violette, bleus.
Je m'efforçait de ne pas fondre en larmes. Je m'accrocha au barreau du lit et commença à souffler. Ma jambe tremblait légèrement et bizarrement je n'avais plus du tous l'impression d'être bourré. Je m'effleura ma cote d'une main, ce qui me fit pousser un cri rauque. Aurelio sortit une trousse de soin et la brandit en s'approchant de moi. Il s'asseya sur le lit et m'ordonna :
-Retire ta robe.
Je faillis m'étouffer avec ma propre salive.
-P..Pardon ? Balbutiais-je.
Si je le faisais, il allait voir mes seins, ma culotte et ma tache violette !
-Non ! Dis-je un peu fort
Il soupira et retira ma robe lui même :
-EH ! Arrête! Quesque tu fous ! Criais-je
Mais même crier me faisait mal putain. Alors, je le laissa faire même si j'étais morte de honte.
-Prends-ça.
Il me tendit un anti-douleur pour que je l'avale. Je l'avala sans eau. Je m'en foutais, je voulais juste que ça fasse effet. Je frissonna au contact de la peau d' Aurelio. Il m'appliqua de la pommade et pris une grosse bande blanche.
-Je vais la mettre autour de tes côtes ça va serré. Me dit-il sèchement.
Il l'entoura autour de mon ventre et serra d'un coup. J'hurla. J'entendit un "clac" de mes côtes et je regarda Aurelio, choqué. Ma douleur me faisait deux fois plus mal. Le regard d'Aurelio s'arrêta sur ma cicatrice et il l'effleura avec ses doigts. Je resta silencieuses. C'était horriblement gênant. Lorenzo pénétra dans la pièce essoufflé.
-Ton colosse à la cible on peut partir dès demain. Dit-il d'une voix rauque.
Il s'arrêta quelques instant et esquissa un sourire. Je le fusilla du regard. Aurelio se releva et me dit que c'était fini. J'étais en souvêtement devant deux hommes que je connaissais à peine et qui était des pervers. Je me releva après deux tentatives et me dirigea vers la salle de bain avant de claquait la porte.
PDV Aurelio
Juste une question me laissait perplexe. Quelle était cette cicatrices ? J'avais déjà changé mes vêtements et mis un T-shirt accompagné d'un short. J'avais pris une douche vite fait après Novula. Quand j'étais sortit Lorenzo était déjà dan son lit ronflant comme un porc. Novula, elle, lisait avec des écouteurs.
Elle me remarqua et commença a installé ses affaires par terre.
- Quesque tu fais ? Demandais-je
-Je dors sur le sol ce soir. Dit-elle sèchement
-Tu vas te faire mal aux cotes en faisant ça .
Elle s'arrêta quelques secondes et remit ses affaires sur le lit.
-D'accord tu as gagné mais par contre tu me regarde je t'étrangle, tu m'effleure je t'étrangle. Tu m'embrasse je t'étrangle. C'est chacun son cotés.
-Ok. Dis-je en souriant
Je m'affala sur le lit, la faisant rebondir. Elle soupira et se retourna de façon que je ne la vois que de dos. Jamais une fille ne m'avait fait ça et c'était assez drôle. Les première minutes, je n'arriva pas à trouver le sommeil. Un frottement de drap me fit ouvrir les yeux. Novula s'était retourner de mon cotés. Sa m'en laisser le souffle coupé. Elle paraissait si paisible. Ses cils était aussi long qu'une poupée. Elle avait un fort caractère mais elle était aussi douce. Elle me la rappelait. Je détournait le regard, c'était une autre époque. Soudain, une main se posa sur mon T-shirt et le serra fermement. C'était la main de Novula, SA main sur MON T-shirt mais bizarrement je ne la retira pas.
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Bonjour, bonjour ! Comment aller- vous ? Je reviens avec le chapitre 9 qui commence a rapprocher un tous petit peu Aurelio et Novula ! Pardon aussi pour l'absence de quelques semaines. On se retrouve Mercredi ( et on avance bonne rentrée a tous !).
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dark obsession
RomanceNovula ,installé en Italie depuis 6 ans, vivait chez ses parents mais maintenant elle peut déménager. En rencontrant son nouveau colocataire, elle se rend compte que ce n'est que le chef de la mafia italienne, le célèbre Aurelio Rossi. Il est connu...