Tyler

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Elle était tellement mouillée qu'il fallait que j'essaie et putain... Elle s'est totalement lâchée. Elle a hurlé mon prénom comme jamais une femme ne l'avait fait. Une fois son orgasme fini, je retire mes doigts et les mets dans ma bouche pour les lécher. Elle me regarde les yeux grands ouverts.

- Tu es tellement délicieuse ma puce.

- Je ne me rappelais plus que c'était.........

- Aussi électrisant. Aussi bon. Aussi puissant.

- Oui.

- C'est ton corps qui repense à tout ça. Il réagit.

- Je veux qu'il réagisse plus vite.

- Comment ça ?

- Je voudrais que tu me......... Enfin qu'on......... Enfin, tu vois ?

- Si tu n'arrives pas à le dire, ça ne sera pas possible. C'est que tu n'es pas encore prête.

- Tu ne veux pas ? Tu n'en as pas envie ?

- Tu sais bien que c'est faux. Je te désire tant que ça me rend dingue. On ne t'a jamais autant désiré comme moi. Et s'il ne tenait qu'à moi, je te ferais l'amour pour te faire jouir comme jamais. Tu n'auras jamais rien ressenti d'aussi fort. Mais, il n'y a pas que le sexe que je veux pour nous. Je veux tout pour nous. Je... Je suis tombé amoureux de toi.

- Tu... Quoi ?

- Tu as très bien entendu. Dis-je en souriant, car elle rougit. Je ne te demande pas d'y répondre.

Elle caresse ma joue d'une main pendant que l'autre caresse mon ventre. Soudain, elle l'a fait glisser sur mon boxer et caresse mon sexe plus que tendu. Elle rougit et embrasse mon cou avant de reprendre ma bouche.

- Laisse-moi te faire du bien mon bébé.

- Mon bébé ? Dis-je en souriant. Elle devient encore plus rouge. Quand je te laisserai me faire du bien, ce sera quand je serai en toi ou après. Mais pas avant cela.

Elle laisse échapper une larme sur sa joue et vient se coller contre moi.

- Hey ! Ma puce. Ce n'est rien. Je t'ai dit que je n'étais pas pressé. On aura tout notre temps pour s'aimer. Par contre, je te préviens, lorsque ton corps me laissera lui faire du bien, tu as intérêt à prendre plusieurs jours de congés, car nous n'arrêterons jamais. Je te ferai l'amour jusqu'à ce qu'on s'endorme.

- J'aimerais tellement y arriver.

Elle se blottit dans mes bras. Sa tête contre mon cœur. Elle l'écoute. Il bat très vite. Elle lève ses yeux vers moi et je l'embrasse. Elle a un visage d'ange. Comment a-t-on pu lui faire autant de mal ? Nous nous installons l'un contre l'autre, mais avant cela, je replace mon érection qui me gêne. Puis, je l'attrape par les épaules et vient la coller contre mon torse. Elle dépose sa main sur mes pectoraux, glisse ses doigts sur ma clavicule et dessine lentement. J'aime quand elle fait ça. Je lui caresse ses cheveux, et aussi son épaule, et fini sur la chute de ses reins. Elle s'endort rapidement. Je la sentais vraiment fatiguée. Est-ce qu'elle dort bien avec ce type qui lui envoie des messages qui lui font peur ? Son souffle chaud ensommeillé contre ma peau m'électrolyse. Je suis foutu. Je ne veux pas la perdre. Je la veux toutes les nuits auprès de moi. Je la regarde pendant encore un moment avant que je m'endorme en la gardant contre moi. Nous passons notre dimanche à ne rien faire. On se lève tard, prend le petit déjeuner et on passe l'après-midi dans le canapé à regarder des films. Je la garde tout contre moi.

Le lendemain, Charlène, Jenna et moi, allons lui acheter, après son travail, un nouveau téléphone portable avec un nouveau numéro. Pendant que le vendeur lui montre les téléphones, Jenna me montre son ancien téléphone. Steven lui a envoyé plusieurs messages dont un, le soir où nous l'avons vu devant chez elle.

Hockey à WinnipegOù les histoires vivent. Découvrez maintenant