Un amour militaire.

Chapitre 28

Hello everybody ! Avant que vous ne me tuez à coup de machette ou de couteau enfin comme vous voulez.

Sachiez que je suis vraiment désolée pour cette attente phénoménale.

Raison n°1 : Complétement blasée, je vous le jure. Je n'avais même plus d'inspiration et puis je travaille sur un autre livre hihi ! Qui sera sûrement en ligne dès que celui-ci touchera à sa fin. Ne vous inquiétez pas, je connais même pas la fin.

Pour les autres raisons... je pense que c'est inutile d'en parler mais voilà une partie, nulle peut-être mais je sais pas où est l'inspiration !

Bref bonne lecture !

Johanne.

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28.

Les sensations qui passaient à travers mon corps lorsqu'Henry avait déposé ses lèvres sur les miennes étaient diverses, variées et contradictoires. Je ne savais pas ce que je ressentais, un néant semblait s'être ouvert sur mes pieds alors que je sentais cette vague d'émotions me touchaient en pleins coeurs. Quand il demanda accès à ma langue, je ne rêpondis pas, le laissant accentuée le baiser afin de me faire changer d'avis. Mon coeur battait tellement fort que je me demandais si je n'avais un baffe de plus de 1 millons de décibels dans la poitrine.

Mon dieu Océane que fais-tu ?

-Océane s'il te plait marmonna-t-il alors que ses lèvres pulpeuses qui continuaient d'explorer ma bouche. Laisse-toi aller ...

Ses mains descendirent le long de mes bras, cherchant mes mains après plusieurs minutes, picotant chaque parcelle de ma peau ayant pris contact avec la sienne.
Je laissais échapper un souffle involontaire de satisfaction quand son autre main rentra en contact avec mes cheveux.

Sérieusement les cheveux ?

- Je sais que tu le veux aussi continua-t-il alors que je donnais peu à peu accès à ce baiser torride. Il faut juste que...

- Colonel Thonson ! Coupa unevoix derriere la porte suivi d'un toch abassourdissant.

Henry se releva brusquement, prenant conscience de l'endroit ou l'on se trouvait et avant même que je n'ouvre la bouche, son index fut posé sur mes lèvres.

- Chuut me chuchota-t-il.

Prise d'une soudaine peur, je hochais la tête afin de lui faire comprendre que je ne prononcerais pas un mot. Je préfère nettement me ridiculiser en marchant dans un crotin de cheval qu'on apprenne ce que j'ai fait Henry. Cela me ramènerai directement à la maison et dieu seul que je n'aime pas mes parents.

Déjà que je vais devoir les supporter à la fin du mois...

- Qui est là ? Demanda-t-il.

-Samuel Xavier a votre service colonel répondit l'homme.

Et mon sourire s'élargit quand je compris que Samuel était de retour.

Au revoir Mr. Quiston et son sens de l'amusement pourri !

Henry se remit à sa chaise et d'une voix basse, autorisa à Samuel à entrer dans son bureau. Celui-ci nous regarda un à un, un petit sourire au coin et ne tarda pas à me faire un clin d'oeil.

- Oh Samuel ça fait un moment commença Henry neutre, tu es venu juste à temps. J'aurais besoin de tes services pour la semaine prochaine. Certains camps me font la misère et un peu aide ne serait pas de refus.