Kylie est une demie-Fae. Dès sa naissance, elle est séparée d'une partie de sa famille à cause de son pouvoir encore inconnu. Pour obtenir la puissance de son pouvoir, le roi d'Eléanymphe déclare la guerre à son royaume : Efedia. Cachée sous son mas...
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Je suis réveillée en douceur ( retenez le mot douceur )....... par Daïnne qui me verse des glaçons sur la tête. Je me relève beaucoup trop brusquement à mon goût.
-Non, mais ça va pas !!!! Ma voix ne ressort pas comme je l'avais prévu. Au lieu d'être autoritaire, elle est toute enrouée. Super, j'ai l'air d'une enfant face à lui avec ma voix rauque du matin...
Bon réveille ? me demanda la Voix. Je l'ignore instinctivement. Il rit en me voyant me racler la gorge. Je le regarde, en colère. Règle n°1 : ne jamais réveiller Kylie brusquement.
-Et ça te fait rire, lui lançai-je ma voix un peu moins rauque.
-Ouais.
Mon envie de le baffer devient tellement grande que je m'accroche aux draps pour ne pas faire une bêtise. J'essore mes cheveux trempés et pendant ce temps, Daïnne se dirige vers la garde de robes dont il ouvrit l'armoire pour en sortir un ensemble que j'ai à peine le temps d'apercevoir avant qu'il me les jette à la figure. C'est bon c'est le geste de trop. Je prends mon coussin et me lève sur le lit. Dès qu'il commence à se retourner, je le frappe si vite et si fort qu'il tombe en arrière. Il ricane et je fais de même. Il attrape un autre coussin et nous partons pour une bataille de polochons. Je me prépare en le voyant s'approcher dangereusement du lit. Il monte dessus en s'accrochant à une des barres pour se retrouver debout en face de moi et me frappe avec le coussin. J'esquive son coup à tant et il fait de même lorsque je redonne l'assaut. Nous sommes tout les deux décoiffés, que se soit à cause des coussins ou de la nuit. Des plumes volent de partout autour de nous. Il frappe fort pour m'atteindre. Il me touche et je pars en avant. Je profite de ce moment de gloire pour attraper sa jambe de manière à le faire tomber . Il trébuche et tomba en arrière comme prévu . Je lui tire la langue mais il se redresse à toute vitesse pour me pousser sur les couvertures. Quand je tombe enfin, il rattrape mon coussin que je lâche. Je me relève sur les genoux afin de le refaire tomber et le bloquer en grimpant sur lui. Je lui assène des coups tout en le décoiffant. Il me déconcentre en chatouillant mes côtes ce qui me fait sursauter. Il réussit à me soulever et à me balancer sur les draps. À peine j'ai le temps de lever la tête qu'il se baisse et met les deux coussins sur moi. Je les lui arrache des mains. Et pendant ce temps-là, il prend d'autres coussins et les enfonce sur moi en m'écrasant pour me bloquer. Je lui tire les cheveux pour essayer d'attirer son attention sur autre chose mais n'en fait rien. Il finit par lâcher la pression sur moi. Je tire plus fort ses cheveux et il retire les coussins. Un peu plus et il me serait tombé dessus. Et là je me rend compte de ma bêtise : il est à califourchon sur moi ! J'arrête toute pression mais garde les mains sur ses boucles. Je lève mon regard et le regarde dans les yeux. Tout aussi surpris que moi, il me regarde essoufflé par la bataille. De vrais gamins, me dis-je. Je sens son souffle sur ma peau. Je rougis en sentant son odeur. Pourquoi lui, me procure cette sensation là ? Qu'est-ce que je peux le détester ! Il me regarde de haut en bas et sourit. Il commente malicieusement :