Livai Ackerman & Apolline Smith

Chapitre 10:

Plusieurs jours étaient passés.  Nous avions capturée Annie, découvert que les murs étaient constitué de titans colossal, mon père avait perdu un de ses bras.

Reiner et Bertolt après avoir montré leur vrai visage on capturés Eren et Historia avec l'aide d'Ymir. Nous avions réussi à les sauver.

Des titans étaient apparus dans l'enceinte du mur Rose sans que celui-ci ne soit détruit. C'est après que Conny, en retournant dans son village, ai reconnu sa mère sous forme de titan que nous en sommes venu à la conclusion que les titans étaient en fait des humains transformé en monstres mangeurs d'Hommes dénués de pensée.

Historia nous avait révélé être la reine légitime de l'île paradis. Peut de temps après Historia ainsi qu' Eren se firent capturés par la 1ere division, qui est dirigé par "Kenny l'engorgeur". Et mon père avait perdu un bras.

Nous venions de faire une entrée fracassante dans la grotte ou se trouvait  nos deux amis.

Le combat était engagé, nous arrivâmes à bout de celui-ci, triomphant mais avec Hanji qui était blessée.  Nous aidions Eren à se détacher des chaînes qui le maintenait. Cependant durant notre sauvetage, Rhodes Reiss était en train se se transformer.

- On va tous mourir par ma faute, hurla Eren.

Je vis son regard dévier vers un flacon et une seringue, il s'en empara et s'injecta le contenant du flacon. Nous le vîmes courir droit sur l'ennemie tout en se transformant.

- Tous derrière Eren! Cria Livai.

Nos courûmes dans on dos. L'explosion était énorme mais nous étions tous intact Eren c'était rigidifié.

En relevant la tête je vis un titans énorme, encore plus grand que le colossale.

En sortant de la grotte, du moins ce qu'il en restait nous remarquions que l'énorme titan se dirige droit sur le district d' Orvud.

Le plan de mon père était d'attendre que le titan se rapproche, tout en n'évacuant pas les civils car celui-ci était attiré par les humains.

J'étais en haut du mur j'aidais à empiler des barils de poudres dans un filet. Tandis que les brigades spéciales d'Orvud bombardaient avec les canons Rhodes sans succès.

Je rejoignis Erwin et Livai. Ils discutait d'Histoiria.

- Elle veut combattre c'est ça ?  Demandais-je.

- Oui et en fin de compte son idée n'est si bête que ça, on va faire croire qu'elle a tuer son père ce qui fera d'elle une héroïne et par conséquent une reine appréciée du peuple, m'expliqua mon paternel.

- Ça se tient, dis-je.

- Notre rôle à nous deux c'est de veiller à ce qu'elle ne meurt pas, m'informa Livai.

Depuis l'événement de l'autre matin le Caporal était devenu assez froid et distant, encore plus qu'avant. J'en avais parlé avec Hanji qui en avait parlé avec Erwin, sans mon accord bien sur, ils m'avaient tout les deux dis des choses similaires.  Livai ne comprenait certainement pas ce changement de comportement chez lui ou alors il en avait peur. Et quand je leur avait demandé ce que ça signifiait, Erwin m'avait dis "il tient plus à toi qu'il ne le montre" et Hanji avait dis qu'il avait peut-être des sentiments pour moi.  Sauf que moi je ne voulais pas y croire.

Le plan était plutôt simple, nous devions attendre que le titan se relève. On espérait que comme il se déplacer la tête face au sol qu'il n'avait pas de visage et que par conséquent une bouche grande ouverte. Eren n'aurait qu'à y placer le filer plein de poudre et avec la chaleur l'ensemble devait faire exploser le titan.  Nous n'aurions plus qu'à trouver le morceau de chair qui comporte l'hôte de ce monstre puis à le trancher pour le tuer.

Quand le titan atteint le mur il se redressa. Créant la panique chez les habitants d'Orvud.

Un immense morceau de chair tomba de son torse ce qui me donna envie de vomir. Son visage était plat, pas d'œil seulement des orbite, des trous en guise de nez ainsi qu'un immense trou pour la bouche.

Eren se transforma donc, il accomplit sa mission avec brio. C'était maintenant à nous d'accomplir la notre. Je trancha morceau sur morceau sans rien y trouver tout en surveillant la jeune fille blonde. Elle venait de tuer son père d'un coup de lame. Pas besoin de faire croire qu'elle l'avait tué puisque c'était vraiment le cas.