Chapitre 27

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«Secrets» par OneRepublic🎵^

<< Cette fois, pas besoin d'une ligne parfaite.
Ne vous inquiétez pas si les critiques ne s'alignent pas.
Je vais vous donner tous mes secrets.>>

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Précédemment°

__ Tu es bien courageuse de t'aventurer seule ici, la peureuse, déclara Shawn d'une voix grave, taquine et envoûtante, laissant planer un soupçon de danger dans l'air.

__ Euh... pourquoi tu dis ça ? Et pourquoi tu m'appelles toujours la peureuse ? l'interrogeai-je, cherchant à percer le voile de mystère qui semble l'entourer.

__ Oh, juste une impression, répondit-il avec un sourire énigmatique, ses yeux brillant d'une lueur intrigante.

Perplexe, je le fixe sans rien dire, essayant de comprendre ses intentions.

Je sens une tension électrique entre nous, un jeu subtil qui se joue dans cette semi-obscurité.

Shawn se retourne pour s'asseoir de nouveau, son sourire taquin toujours présent.

__ Alors, la peureuse, comme ça tu as du mal à trouver le sommeil ? taquina-t-il.

Son ton moqueur accentue son sourire plus ou moins charmeur, révélant une lueur espiègle dans ses yeux.

__ Ne m'appelle pas comme ça, soupirai-je, sentant une pointe d'irritation monter en moi. Et d'ailleurs pourquoi es-tu dans le noir ?

__ Peur du noir, peut-être ? lança-t-il, un sourire taquin aux lèvres.

__ Ce n'est pas la question que j'ai posée, répliquai-je, luttant pour dissimuler mon agacement.

__ Et ce n'est pas non plus la réponse que j'attendais, rétorqua-t-il. Mais ne t'en fais pas, je comprends.

Il n'y a que nous pour jouer à ce jeu énigmatique.

C'est comme une danse, un échange de mystères et de réponses voilées.

__ Tu comprends quoi ? demandai-je finalement.

__ Que tu as honte d'avouer que tu as peur du noir, répondit-il, un éclat de rire résonnant dans la pièce.

__ Moi ? Ridicule ! Je n'ai pas honte, encore moins peur du noir, répliquai-je, tentant de dissimuler mon malaise grandissant.

__ C'est ça, la peureuse ! répliqua-t-il, son rire emplissant encore plus l'espace.

__ Peux-tu cesser de m'appeler ainsi ? J'ai un prénom, je te signale, dis-je d'un ton ferme et agacé.

Il semble qu'il a délibérément choisi ce moment précis pour me provoquer.

Comme s'il avait pressenti que c'était le bon moment pour me déstabiliser.

Pourtant, il est surprenant de le voir rire autant, surtout après la soirée mouvementée que nous venons tous de vivre.

Son rire résonne dans la pièce, apportant un étrange mélange de légèreté et de tension à l'atmosphère.

C'est comme s'il a besoin de relâcher toute la pression accumulée, de laisser échapper un peu de cette tension palpable.

__ Vraiment ? Moi, au contraire, j'apprécie, avoua-t-il, laissant échapper un léger sourire en coin.

__ Et moi, je n'aime pas, donc arrête, répliquai-je d'un ton ferme, mais mes yeux trahissaient une lueur moue.

DEUX CŒURS DE L'AMITIÉ À L'AMOUROù les histoires vivent. Découvrez maintenant