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De ce qui se dit dans nombre des royaumes du second ciel, lorsque les soleils des sept maisons qui forment le socle de la terre s'alignent avec l'étoile primitive, le centrium, une nouvelle révélation sort de Sion, perfore les cieux habités et bouleverse l'univers visible et invisible.
Ce phénomène plus que rarissime marque un signal pour toute la création. Dans ces moments là, il arrive que tous les royaumes se lancent dans une recherche acharnée des moindres pensées de Dieu car quelle parole sortira d'Elyon, sans que l'espace et le temps ne se déchirent entièrement pour s'en emparer ? Ou quelle créature ne poursuivrait pas ces moindres brins de pensées ejectés dans le cosmos ?
Deux années lumières, cela faisait maintenant deux années lumières que le magnat suprême Huliss avait lui même mandaté une troupe d'élite dans un royaume lointain, « Nerapetra », en quête d'un objet qui, selon ses dires serait d'une importance colossale pour tous. Et, c'est guidés par la parole de Dieu, par un courage sans faille et par de nombreux sacrifices qu'ils parvinrent à ramener l'objet tant convoité mais encore inconnu. De retour dans leur royaume, portés par deux fils du vent du nord, Melta et sa troupe atterrirent à Sinatura, un endroit qui avait pour ainsi dire des allures de taverne à cause de ce qu'il rassemblait à lui seul un grand nombre de ces êtres spirituels que sont les Vectorhey, chose qui n'était pas possible de fréquemment observer dans tout le royaume vecthorien.
De cet endroit très chaleureux, ces êtres étaient encore capables de capter le flux de vent solaire qui venait restaurer leur être entier ; voilà pourquoi Sinatura était aussi frequenté.
- Bienvenue à vous, votre espace se trouve dans cette direction, tonna une voix en eux-même leur montrant ainsi la direction.
- Merci bien, dit Melta, qui avançait suivie des quatres autres.
Dans sa main, la meneuse de troupe tenait fermement une boîte porteuse de l'objet mystère, et même lorsqu'ils prirent place, la fermeté avec laquelle elle la tenait n'avait pas baissé d'un pouce.
- Je me demande bien ce que peut contenir cette boîte, fit le jeune Gastor tout en fixant la boîte.
- Tu le sauras très bientôt Gastor, répondit Melta esquissant un léger sourire comme pour le rassurer.
- À mon avis, le magnat suprême avait raison. Il n'était pas en train de vanter l'importance de cet objet lorsqu'il en parlait avant que nous ne partions pour Nerapetra, dit Nhyme qui se trouvait à l'un des angles de la table.
- Oui tu as raison. En même temps, il faut mentionner la grande beauté de ce royaume et leurs grands principes qui semblent sortir de Sion elle même, affirma encore Adeline.
- Leurs principes hun ? La beauté de l'amour ! Jamais entendu parler d'une telle chose et pourtant, ils n'ont que ça à la bouche, dit Gastor qui semblait encore chercher une cause aux choses qu'ils avaient vues.
À l'autre angle de la table, alors que tous parlaient encore, Melta remarqua l'un d'entres eux, qui depuis un bon bout de temps n'avait encore rien dit. C'était le jeune Sophos, qui de tous, était sans aucun doute le plus placide, le plus timide ; mais cette fois-ci, il était différent, il était beaucoup plus silencieux comparément aux autres fois.
- Sophos, je peux savoir pourquoi tu es aussi silencieux ? lui demanda tendrement Melta.
- Eh bien je vous écoute depuis maintenant un moment voilà tout, répondit-il, l'air un peu gêné.
- Non je te connais mon cher Sophos, allez parle, insista Melta.
- D'accord comme tu veux. Eh bien disons que j'ai eu une conversation avec l'un des habitants de Nerapetra concernant la beauté de l'amour, déclara Sophos.
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ððððððð ððððððððð & ððððððð
Viá» n tÆ°á»ngEloha venÊ laqino-solv de plas-lom E barus de vida-NÚfl In da E-stomio I laqino-solv kaal gaenya . Armiano ! Entrons ensemble dans l'univers des seconds cieux, suivant les pas de l'être Elaïkim, avant de redescendre sur la Terre des hommes, renouan...