SAVE ME

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 - 𝟏𝟐

( Ce chapitre n'est pas un nouveau. Pendant la réécriture j'ai dû décaler tous mes chapitres, donc le chapitre 12 correspond à la soirée. Attention, une scène a été rajoutée comportant des TW ! Évidemment, je vous conseille de relire complètement l'histoire, sinon vous risquez d'être perdu, car 3 nouveaux personnages sont apparus ainsi que différentes scène - surtout dans le chapitre 1 - !!!!

Si il y a des moments que vous ne comprenez pas, n'hésitez pas à me le dire en commentaire, je vous répondrai avec plaisir <33 Le prochain chapitre arrive très très vite) Kiss kiss !!! 🍒

(Je m'excuse d'avance pour les fautes !)

CASSIE.

( TW )

New York, Manhattan.
18h43.

On est déjà vendredi soir, ce qui veut dire qu'on va à la soirée. Franchement, j'ai pas du tout envie. Il est 18h43, Abby et Elijah viennent me chercher. Il a redoublé une classe, alors il a 1ans de plus que nous. Il vient d'avoir le permis.

Je me lève de mon lit, pars dans ma salle de bain. J'enlève mes lentilles pour les nettoyer. Je retire mes vêtements puis j'entre dans la douche. Je me lave en vitesse.

J'enfile une jupe noir, ainsi que un pull gris épaule dénudées.

Le tissu cache assez mes cuisses. J'attrape ma serviette pour sécher mes cheveux, ensuite je prends le sèche-cheveux pour terminer. Je les brosse légèrement, je décide de laisser mes ondulations au naturel.

J'applique un peu de mascara ainsi qu'un rouge à lèvres rouge. Je me parfume, je rajoute mes bijoux, un bracelet et une bague en or avec une chaîne aussi en or qui est toute fine.

Je sors de la salle de bain, j'attrape ma veste oversize en cuir noir, je mets ma paire de Gazelle noir. J'attrape mon sac à main.

J'allais enfiler ma veste quand la voix d'Isabella retentit :

- Tu comptes aller ou ?

- Je vais à une fête, papa est d'accord, dis-je doucement.

Elle lâche un rire moqueur.

- Habillée comme une pute, non mais regarde toi ma pauvre. On voit tes grosses cuisses.

Les larmes me montent aux yeux.

- Je ne suis pas habillée comme une pute, murmure-je.

- Tu oses me contredire en plus.

Elle s'approche de moi, je recule instinctivement d'un pas.

- Tu n'es qu'une sale ingrate, ta mère t'a abandonnée je la comprend, pouffe-t-elle.

La rage monte en moins, elle n'a pas le droit de parler de maman.

- Personne oserait te toucher même pas avec un bâton, tellement que tu dégoûtes. Regarde toi, t'es grosses.

Des larmes perlent au coin de mes yeux, je n'en peux plus. Je veux qu'elle arrête.

- Tu répugne, tout le monde ma pauvre fille. Je suis sur tu n'as même pas d'amis, ça ne m'étonne pas qui voudrait l'être avec toi, C'est de ta faute si ta mère est morte, si ton père était là il serait d'accord avec moi, crache-t-elle.

Ses mots me font mal. C'est faux maman n'est pas morte à cause de moi. Non. Non. Non.

Ce n'est pas de ma faute.