Only mine

12.

Je montais donc les escaliers pour rejoindre la mère des mikaelson.

- bonjour rose, me salua celle ci, je suis contente que tu sois venu, il Fallait absolument que je te parle. Si tu veux bien me suivre.

A côté d'elle, se trouvait finn. L'un de ses fils, lui aussi était un vampire originel.

Je le dirigeais donc à la suite d'Esther et Finn nous suivi.

Nous arrivâmes enfin après avoir fait je ne sais pas combien de couloir, une petite chambre isolée au dernier étage. Cet endroit ne me rassurerait pas énormément pour une simple discussion, mais je décidais de ne rien dire et de tout simplement m'installer sur le canapé qui m'étais proposer.

-tu veux un verre? Me demanda alors la sorcière en ouvrant une bouteille de rouge devant moi.

La pièce où nous trouvions était assez vague. Il y avait au milieu un canapé de velours rouge avec devant une table basse en bois. Des bibliothèque était posée un peu partout sur chaque pan de mur de cet espace de salon. A mon avis, la quasi-totalité des livres étaient en faites des grimoires.

- non merci, ça va, dis-je en attardant mon regard sur une espèce de feuilles qui était en train de brûler dans un cendrier alors que celui-ci était posé sur la table devant moi.

- c'est une plante pour que personne ne puisse nous entendre, m'expliqua alors Esther, on ne sait jamais, il y a beaucoup d'oreilles indiscrètes ici.

J'hochais la tête, la tête, ne sachant plus quoi dire de plus.

En réalité je n'en rien a dire puisque celle ci reprit vite la parole d'elle même.

- bien, il est peut-être temps que je te dise pourquoi tu es là non ?

- ça serait bien oui, dis-je, si ça ne vous ennuie pas, je n'aimerais pas rester ici toute la nuit.

Elle rigola avant de porter son verre à ses lèvres rouge.

- ne t'inquiète pas, ça va aller vite, me répondit-elle, j'ai besoin de ton sang.

J'haussais les sourcils.

- pourquoi ? Demandais-je, a quoi mon sang peut bien vous servir ?

- c'est simple : le sang petrova permet de lier certaines personne. C'est à dire de tuer plusieurs personne d'un coup.

- et donc ? La questionnais-je en me levant, qui voulez vous tuez ?

- les enfants mikaelson, et avant de dire quoi que ce soit, laisse-moi finir, dit-elle avant que je n'en le temps de riposter, Finn, veux bien se sacrifier pour les autres, une fois que je les aurais tous liées, à la pleine lune, demain je tuerai finn avec un pieux devant la maison ou plus de 250 sorcière on été sacrifiée , un pieux en chaîne blanc. La seule choses qui peux tuer un originel est un pieux fait de chaîne blanc.

- Mais ?! M'exclamais-je, pourquoi voulez vous tuer vos propres enfants ?

- c'est moi qui ai créé les monstres qu'ils sont sont devenus, c'est à moi de les supprimer. Depuis que ce sont devenus des vampires, ils n'ont fait que des massacres, depuis plus de 1000 ans. Je dois stopper cela.

- et vous croyez vraiment que je vais donner mon sang pour que vous tuez  mes meilleures amis ? Vous vous trompez Esther, dis-je en me levant, je ne ferais jamais ça et vous le savez très bien.

- je ne t'obligerais en rien, mais c'est aussi pour cela que j'ai fait venir une autre personne d'ôter du sang des petrova.

- Elena... soufflais-je

- j'ai récupérer de son sang, me dit la mère de Rebekah en secouant une fiole avec un liquide rouge dedans,j'en verserais dans chacune des coupes de vin de mes enfants ce soir, ainsi ils seront enfin lier.

- non, dis-je, vous ne pouvez pas faire ça !

- trop tard, me coupa-t-elle d'un air sadique, le vin sera distribuez dans... exactement trois minutes.

Je me précipitais donc en bas pour aller rejoindre Rebekah et essayer de l'alerter.

Arrivée en bas, aucune trace de Rebekah, mais je vis klaus au loin.

-klaus, criais en courant vers lui, klaus !

- qu'est ce qu'il ce passe ma douce ? Demanda-t-il en avalant une gorgée de son vin.

- NON, criais-je une nouvelle fois en lui sautant dessus

- et bah dis donc, fit celui ci, pas que ça me déplaise ma douce mais c'est quand même mieux que tu me sautes dessus en privé.

- arrête de boire klaus, c'est important.

- tu te soucis autant de moi, demanda-t-il d'un ton espiège, avant de me tourner le dos et de partir dans la direction opposée.

- klaus écoute moi, implorais-je, c'est urgent, ça concerne ta mère.

Celui ci fit volte face d'un coup, bousculant quelqu'un sur son passage.

- raconte moi tout Rose.

Je lui raconta donc en vitesse tous ce que m'avait dis sa mère il y a quelques minutes.

- klaus, c'est finis, Rebekah va mourrir, kol va mourrir, tu vas mourrir, ELIJAH VA MOURRIR, m'énervais-je en brisant un verre de toutes mes forces par terre.

- calme toi ma douce, la pleine lune est dans 3 jours et 2 nuit, on aura le temps d'arrêter ma mère avant.

- non klaus non, dis-je en m'effondrant par terre, Esther va tous vous tuer, je...je, JE VAIS PERDRE MA MEILLEURE AMIE KLAUS !

Celui ci me prit dans ses bras et me chuchota :

- calme toi Rose, je suis plus fort que ma mère, je l'ai tuer nue fois, je la tuerais bien une deuxième.

Mes mains commencèrent à trembler, je sentis mon souffle se couper peu à peu. Les larmes dévalèrent de mes yeux dans un flot continue sans s'arrêter.

Klaus m'emporta en dehors du manoir puis me conduit jusqu'à sa voiture.

Ma crise d'angoisse ne fesait que d'augmenter et je n'arrivais plus à m'arrêter de pleurer.

Il me mît sur le siège passager de sa voiture, puis fit le tour pour venir s'asseoir à la place conducteur.

Je m'effondrait au fond de mon siège, incapable de bouger.

- tu me laisses essayer quelque choses ma douce ? Murmura-t-il en s'approchant de moi.

J'hochais la tête, les yeux toujours plein de larme. Il m'arrivait pas souvent de faire des crises d'angoisse, mais celle là était l'une des plus fortes que je n'ai jamais eu.

- bien, alors pose ta main sur mon cœur, dit-il tandis que je reproduisait ses paroles, et embrasse moi, embrasse moi le temps qu'il te faudra pour essayer de te calmer, embrasse moi autant que tu voudra, embrasse moi jusqu'à ce que nos corps s'enflamment. Au point que tu ne ressentes plus rien.

Il s'approcha un peu plus de moi et dit dans un souffle :

- je m'en veux Rose, et je ne mourrais pas tant que tu ne m'auras pas pardonné.