Chapitre 15 (partie 1/2)

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Louis Tomlinson

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Louis Tomlinson

Je n'ai clairement pas assez dormi quand je quitte le lit ce matin. Si je gardais l'espoir qu'Harry me rejoigne finalement au milieu de la nuit, ça n'a pas été le cas. Je ne compte cependant pas nous laisser en froid plus longtemps. Je ne prend même pas le temps de m'habiller, et c'est donc en boxer et emmitouflé dans un plaid que je traverse le jardin pour rejoindre la dépendance où Harry a décidé de passer la nuit.

Il n'a pas du très bien dormir non plus car, lui qui n'est pourtant pas du matin, est déjà assis en tailleur sur le canapé en cuir sur lequel il a du dormir, une tasse de café fumante entre les mains qu'il pose sur la table basse dès qu'il me voit entrer.

- Bonjour... Je murmure, penaud.

C'est la première fois qu'on se dispute si fort et surtout, c'est la première fois que je suis entièrement fautif et je ne sais pas vraiment comment me comporter. Je ne sais pas s'il compte rester fâché longtemps encore ou s'il est ouvert à la discussion.

- Bonjour. Il me répond, pas aussi froidement que ce à quoi j'aurai pu m'attendre. Bien dormi?

Rassuré, je m'autorise à m'asseoir à ses côtés sur le canapé.

- Horriblement mal sans toi... Je soupire en faisant la moue, dans le seul but de l'attendrir.

Un petit sourire le trahit, mais il reprend bien vite son air sérieux.

- Ca t'a remis les idées en place au moins?

Je hoche positivement la tête avant de passer ma jambe par dessus les siennes, me retrouvant ainsi à califourchon sur ses genoux. Ses mains se posent sur mes hanches, les miennes dans son cou alors que je colle nos fronts, laissant mes lèvres à quelques centimètres des siennes.

- Pardon. Je m'excuse une nouvelle fois. Mon attitude était puérile.

- Tu ne peux pas avoir le beurre et l'argent du beurre Lou... Il me rappelle dans un murmure.

- Je sais. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je crois que j'étais juste blessé dans mon égo.

- C'était déplacé, monsieur Tomlinson. Il me décroche un sourire, ses mains caressant mes cuisses, me prouvant que je suis parvenu à le dérider.

- Vous comptez me punir, monsieur Styles?

- Hm, c'est fort possible... Il murmure avant de capturer ma lèvre entre ses dents.

Ma bouche s'entrouvre pour laisser passer sa langue et sitôt qu'elle entre en contact avec la mienne, une douce chaleur vient s'emparer de mon bas ventre. Ses mains glissent de mes cuisses à mes fesses, les empoignant dans un soupir de désir. Je peux sentir son érection à travers son propre sous-vêtement et je me délecte de continuer à l'exciter en ondulant du bassin au dessus de lui.

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