Beautiful disaster

Chapitre 6

"La colère est un poison qui détruit celui qui la nourrit "

         Ce matin,je me suis levé avec le morale à zéro . Les essais pour le football américain auront lieu aujourd'hui .
  
           Dans cette bonne vieille ville de New York dès 6h , les embouteillages vous accueillent . Le chant des oiseaux n'est jamais assez puissant pour être entendu distinctement . Anaïs m'a encore servie de réveil, mais en vain. Le mercredi , mes cours débutent à 10h et les siens à 8h.

A peine au milieu de la première semaine de cours , je peine déjà à me lever . Je suis épuisé de cette stupide invention prénomme l'école. Avec les adultes qui répètent sans cesse que notre époque est meilleur. Leurs enseignants pouvaient les punir à leur guise . J'avoue que sur ce point ils n'ont pas tord, même si certains de leur exemple sont très mal choisi comme l'accès à internet et la protection en milieu scolaire .

Internet est un réseau social internationale. Il nous permet de faire nos devoirs, de faire des recherches ou de nous faire de nouveaux amis. La plupart des gens oublient souvent ses inconvénients comme le cyber harcèlement, l'obsession d'entrer dans la case que la société à dédié à chaque personne . La liberté d'expression qui laisse les gens dire n'importe quoi.

Certains établissements qui prônent la tolérance zéro face au harcèlement scolaire. Pour que cela puisse marcher, il faudrait que les enseignants interviennent quand ils voient des élèves recevoirent des blagues de mauvais goûts et les moqueries incessantes .

           Pourquoi je pense à tout ça en mangeant mes chocapiks dans un bol de lait simplement parce qu'il a des jours comme ça où je réfléchis à la vraie différence entre l'humain et l'animal.

           Maman est déjà sorti . Elle est écrivaine et est parti à une séance de dédicace de ses romans . C'est elle qui m'a fait aimé l'écriture.

J'ai un devoir de chimie aujourd'hui . Mon prof ne perd pas de ton temps et c'est tant mieux .

Nanny( avec une voix douce ) : Bonjour mon coeur , ça fait un moment que je ne te vois pas. Comment c'est passé ta rentrée  et tes essais pour l'équipe de foot ?

Nanny (avec une voix douce) : Alors, comment se sont passés tes essais ?

Adonis (soupirant) : Ils n’ont pas encore eu lieu, Nanny. C’est pour cet après-midi.

Nanny : Tu vas y arriver, mon coeur. Tu as toujours été doué pour le sport.

Adonis offrit un sourire faible à Nanny, sachant qu’elle essayait de le rassurer. Mais au fond, il ne cherchait pas à impressionner les entraîneurs ou même son père. Il cherchait à trouver sa propre voie, à définir sa propre réussite.

La  journée s’écoula lentement, chaque cours semblant plus long que le précédent. Adonis se sentait comme un automate, allant de salle en salle, répondant machinalement aux questions des professeurs. La chimie était la seule matière qui parvenait à captiver son attention, un refuge dans le tourbillon de ses pensées.

L’après-midi arriva, et Adonis se rendit sur le terrain de football. Les essais se déroulèrent dans un flou, ses mouvements mécaniques, son esprit ailleurs. Lorsque tout fut terminé, il ne ressentit ni soulagement ni satisfaction, juste une fatigue écrasante.

Le soir venu, il était temps d’accompagner Anaïs à l’anniversaire de son ami. Adonis se força à sourire, à être le frère protecteur et attentionné qu’il avait toujours été.

Arrivés à la fête, Adonis fut surpris de voir Nayra. Elle était là, supervisant l’événement avec une efficacité froide.