PROJET 125

Chapitre 49 : Mémoire destructrice

TW : Viol, violence verbale et physique, action, sang...

NDA :

Hello mes chats,

Je préfère vous prévenir d'avance, le chapitre d'aujourd'hui comporte des passages compliqués. Mais c'est très certainement un de mes préférés tout de même.

Faites attention à ce que vous lisez et bonne lecture ! ❤️‍🩹

Love.

M.

<3 

RÉSUMÉ :

Julia est bloquée dans la maison que Jake a reconnu comme étant positionnée à La Paz. Elle est restée évasive sur les tenants et les aboutissants du lieu dans lequel elle se trouve mais Ezio qui est venu la libérer après s'être réveillé, s'est vite rendu compte de la dangerosité de l'endroit.

Julia prête à craquer a tenté de dissuader Ezio de rester. Mais ce dernier, borné, n'a pas du tout pris en compte ses remarques et est resté allant même jusqu'à raconter n'importe quoi et lui montrer certains de ses tatouages.

Une voix dans les hauts parleurs annonçait Darren comme étant près de là.

C'est dans ce contexte que Ezio et Julia se sont retrouvés. Et c'est avec eux dans une pièce que recommence notre histoire....

Bonne lecture on se voit à la fin🦋

PERSONNAGES IMPORTANTS :

Le Shérif Delarruza est le shérif de Los Cabos. C'est lui qui a permis à Julia d'obtenir son identité quand Lucio Santiago et les Valiente ont disparu. 

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Ezio

Cet endroit de merde ne me plait pas. Mais alors pas du tout.

Une baraque sombre. Des pièces qui s'allument au gré des secondes. Une odeur de sang permanente.

Mes yeux parcourent l'endroit qui nous entoure pour la dixième fois depuis que je suis arrivé. Et je n'en reviens toujours pas.

Jake m'avait pourtant prévenu que ce n'était pas un endroit où il fallait qu'elle se trouve. Que c'était dangereux et qu'il fallait à tout prix la sortir de là. Je n'avais pas réellement saisi pourquoi. Du moins jusqu'à ce que je le vois.

Une émotion que j'ai du mal à décrire m'a pris quand j'ai foutu les pieds dans ce bordel. Les torrents d'eau qui tombent encore dehors ne m'ont pas permis de pouvoir anticiper quoi que ce soit de ce que j'allais trouver ici. Alors quand je suis passé par cette minable fenêtre qui était étonnamment ouverte, je n'étais pas préparé à voir ça.

La petitesse de cette pièce. Ces minables meubles qui trainent ici et là. Ces rideaux déchirés. Ces photos par dizaines accrochées aux murs environnants. Des photos d'enfants qui ne semblent pas du tout être enclins à être devant une caméra.

Des trop jeunes enfants. Et que des petites filles d'après ce que je vois.

Ce n'est que lorsque j'ai entendu du bruit pas loin de moi que je me suis re-concentré m'attendant à faire face à tout.