Pdv externe
Cela faisait maintenant 7 semaines que Katsuki et Izuku ne se parlaient plus. Pas un regard, pas un geste affectif. Rien. Ils s'ignoraient complètement. Bien sûr, Katsuki ne vivait plus chez Izuku quelques jours après leur dispute. Il se trouve que le blond a négocié avec son patron, Hanta Sero, qui est maintenant son ami pour pouvoir héberger chez lui.
Alors qu'il traînait tranquillement sur les réseaux sociaux, on toqua lourdement à sa porte ce qui énerva assez le blond. Le noireau y entra et s'asseya sur le lit de Katsuki en le saluant, provoquant le souffle de l'explosif.
Hanta- Hey mec.
Katsuki- Tsk, qu'est-ce que tu me veux le rouleau de scotch?
Hanta- Hé un peu de respect pour ton patron! S'exclame t-il en lui frappant amicalement l'épaule, énervant encore plus l'explosif. Je suis venu voir si t'allais bien.
Katsuki- Qu'est-ce que ça peut te foutre? T'es ma mère?
Hanta- Non je suis ton patron aisni que ton ami et je me dois de voir si mon ami est en bonne forme.
Il lui souffla un "Pas tes affaires" qui désespéra le noireau. Hanta posa sa main sur l'épaule du blond et lui demande de tout lui raconter, après tout, c'est son ami.
Katsuki soupira et lui raconta dans les moindres détails, sous le regard et l'écoute attentifs de son patron.
Hanta- C'est vrai que votre relation est partit un peu trop...
Katsuki- En couille..
Hanta- Ouais...Le seul conseil que je peux te donner est d'aller t'excuser.
Il souffla, Katsuki savait que son patron avait raison, il devait s'excuser, aujourd'hui, maintenant, tout de suite. Il sait que si il ne le fait pas, il le regrettera.
Ellipse~
Izuku était allongé dans son lit, la tête enfouie dans l'oreiller qu'il serrait dans ses bras. Il pleurait. "J'ai fais tout foirer" pense t-il. Ils avaient réussi à redevenir amis et voilà le résultat d'un secret révélé. Il s'en voulait. Soudainement, la porte s'ouvrit.
Katsuki- Deku? Je peux entrer?
Izuku- Oui...
Il entra et referma doucement la porte avant de s'assoire près de Izuku. Sans que le vert ne s'y attende, Katsuki lui caressa les cheveux. Un lourd silence pesait dans la pièce sombre et froide. Katsuki rompit ce blanc très gênant.
Katsuki- Je suis désolé, j'aurais pas dû m'emporter comme ça. J'ai assez réfléchis sur le sujet et je me dis qu'en faite, t'avais le droit de le faire. Je t'ai fais du mal après tout et c'est toi qui est porté les filles. Murmure t-il.
Izuku- J'avais aussi tord...C'est aussi tes filles et tu te devais de savoir que tu en avais...Je suis sincèrement désolé moi aussi. Dit-il en se redressant et s'asseyant en tailleur face à Katsuki.
Katsuki posa doucement sa main sur celle du vert, ce dernier ne fit qu'un sourire. Le cendré prit doucement sa main avant de la mettre dans la sienne et d'entrelaçer leurs doigts. Leurs peaux douces se touchèrent enfin. Ça les avaient manqué.
Izuku- Si tu savais comme je suis désolé... Dit-il en versant quelques larmes que Katsuki essuya à l'aide de son pouce.
Katsuki- T'as pas à t'excuser, c'est moi le crétin dans toute l'histoire. Déclara le blond en enlaçant le corps du vert.
Izuku- J-J'ai quelque chose à te demander.
Katsuki- Je t'écoutes.
Izuku- Je...J'ai envie de recommencer. Je veux qu'on se remette ensemble, je veux qu'on revive de merveilleux moment car, je t'aimes, je suis beaucoup trop accro à toi. J'aurais dû me le persuader plus tôt, désolé...
Katsuki lui sourit en prenant son visage dans ses mains avant de l'embrasser tendrement. Ce n'était pas un baiser brutal signifiant l'appartenance, non, c'était un baiser amoureux, prouvant l'amour, la tendresse, la beauté, la confiance, bref, un monde magique et merveilleux. Izuku répondit à son baiser et posa ses mains sur les épaules du blond, ça leur avait manqué, cette sensation, ce désire, ce besoin, le ressentit, leur chair, leurs lèvres si douces se mouvants parfaitement entre elles, leur langue se caressant tel des vagues aussi belles dans la mer, ils se sentirent complet, comblés, ce sont de véritables âme soeur. Impossible que l'un n'ai pas envie de l'autre. Katsuki se sépara de ses lèvres pour lui dire:
Katsuki- Je t'aimes.
Izuku écarquilla les yeux de surprise et replongit sur ses lèvres, passionnément, enroulant complètement ses bras autour de la nuque de Katsuki, quant à ce dernier, il le prit par les hanches pour le soulever et le placer sur ses genoux. Un flash se passa dans les pensées d'Izuku et il se recula sous l'étonnement de Katsuki.
Katsuki- Qu'est-ce qu'il y a?
Izuku- Tu...tu as eu un enfant avec Neito non?
Katsuki- Quoi? Non jamais! Écoute Izuku, je n'ai couché avec personne d'autre que toi, tu occupes trop mes pensées, t'es irremplaçable à mes yeux. Je t'aimes énormément ok? Je l'ai quitté pour toi! Je suis revenu pour te retrouver. Ce con de Monoma n'est qu'une erreur. Toi t'es l'homme de ma vie, j'ai juste été con pour avoir compris ça après notre séparation. Je me rends compte que, sans toi, je vis pas. Des larmes commencés à coulaient pour la première fois des yeux de Katsuki ce qui surprena, bien évidemment, le vert.
Izuku les essuya à l'aide de sa main, lui enlaça doucement par la taille et nicha son visage dans le cou de son de nouveau petit ami. Katsuki vint mettre une de ses mains sur sa nuque, l'autre sur son épaule droite et il plongea sa tête dans ses cheveux doux et soyeux à l'odeur de caramel.
Izuku- Sèche tes larmes Kacchan.
Le blond lui sourit et embrassa délicatement ses cheveux, il dirigea ensuite sa tête vers la nuque du vert avant de suçoter sa peau, faisant lâcher un gémissement de la part d'Izuku. Une belle marque violacé se fit présente sur son cou, signe qu'il appartenait déjà à un Alpha. Katsuki regarda son oeuvre, assez fièr de lui même. Izuku leva les yeux aux ciel en souriant avant de prendre la nuque du blond entre ses mains et de tomber en arrière avec lui, attérissant sur le matelas moelleux de son lit.
Katsuki- Tu veux jouer à ça hein~
Izuku- Peut-être héhé~
Les choses sérieuses aller pouvoir commencer. Se disent-ils en même temps.
A suivre~
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1058 mots
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Ce que tu ne sais pas
Fanfiction𝐼𝑧𝑢𝑘𝑢, 𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑢 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑎̂𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝟷𝟾 𝑎𝑛𝑠, 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑠. 𝐸𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖�...