‹1.1%› Famille.

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𝟑% - Hoshina

‹1.1%› Famille.

Je rentrais après une longue journée de travail.

Hoshina : Je suis rentré !

Je m'avançais dans l'entrée de notre maison, retirant mes chaussures. Les voix élevées résonnaient déjà.

En arrivant dans la pièce principale, notre salon, je voyais mes deux fils se chamailler à propos de qui jouerait à la console ce soir. Ils commençaient à crier, et je m'approchais d'eux, prenant la manette des mains de mon cadet.

Kaito : Papa ! Dis-lui que c'est à mon tour de jouer ! criait-il.

Hoshina : Ce n'est pas bientôt fini ! Je rentre et ça crie. Kaito ! Eichiro ! Combien de fois devrais-je vous le dire de vous calmer ?

Les deux garçons baissaient les yeux, visiblement embarrassés par leur comportement.

Kaito : Mais c'est vraiment à mon tour, papa... murmurait-il.

Je soupirai, fatigué mais déterminé à instaurer un peu de paix.

Hoshina : Écoutez, il y a une seule manette et vous devez la partager. Vous pouvez jouer à tour de rôle ou trouver un autre jeu où vous pouvez jouer ensemble. Mais ce qui est certain, c'est que je ne veux plus entendre de cris, d'accord ?

Eichiro hocha la tête et Kaito fit de même, bien qu'à contrecœur.

Hoshina : Bien, maintenant que c'est réglé, pourquoi ne pas aller chercher quelque chose à grignoter pendant que je vais voir ce que maman prépare pour le dîner ?

Les deux garçons se dirigèrent vers la cuisine, et je pus enfin me détendre un peu, savourant le calme retrouvé dans notre foyer.

Avoir un fils aîné de 8 ans et un second de 6 ans, c'était sportif. Ils avaient bien leur caractère, parfois. En entrant dans la cuisine, je regardai Maria qui cuisinait et qui semblait fatiguée de sa journée. Après tout, elle continuait à travailler dans la salle de contrôle. Je posai ma main sur son ventre, où notre troisième enfant, une fille, était prévue d'arriver très bientôt. Cela avait été un parcours difficile pour l'avoir.

Je me penchai pour lui voler un baiser.

Hoshina : Ça s'est bien passé au travail ?

Maria sourit faiblement, ses yeux montrant des signes de fatigue.

Maria : Oui, mais c'était une journée longue.

Hoshina : Tu as l'air exténuée, ma chérie. Tu penses à te reposer un peu ?

Elle soupira légèrement, posant une main sur la mienne, toujours sur son ventre.

Maria : J'essaie, mais avec les garçons et le travail, ce n'est pas toujours facile.

3% HoshinaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant