3% Hoshina

‹19%› Mer agité

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𝟑% - Hoshina
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‹19%› Mer agité.

Le bruit apaisant des vagues enveloppait nos pensées et nos cœurs tandis que le cri des mouettes ajoutait une note parfaite à l'harmonie naturelle. Assis sur la plage, moi en maillot de bain et elle en t-shirt et short de plage, Maria protégeait encore ses cicatrices fragiles de l'air salin de l'océan.

Je lui appliquais doucement de la crème solaire sur la nuque, prenant soin de prévenir tout coup de soleil. Chaque geste était empreint de tendresse, un moment privilégié où je pouvais prendre soin d'elle d'une manière douce et aimante. Son visage s'illuminait d'un petit sourire reconnaissant à chaque nouvelle couche de protection.

Maria : Attends à moi de t'en mettre j'ai pas envie que tu finisses par ressembler à une écrevisse.

Maria prit la bouteille de crème solaire des mains et commença à m'en appliquer sur le dos et les épaules. Son geste doux et attentionné révélait une amélioration visible depuis nos deux jours de vacances.

Son visage rayonnait d'une lueur de contentement et de légèreté, comme si l'air marin et le calme de cet endroit spécial avaient commencé à apaiser non seulement son corps mais aussi son esprit. Chaque mouvement de ses mains était empreint d'une tendresse renouvelée, renforçant notre lien déjà fort.

Pendant qu'elle appliquait la crème solaire, nos regards se croisèrent brièvement, échangeant des sourires complices qui exprimaient plus que des mots ne pourraient le faire.

Hoshina : Je suis tellement content de te voir sourire de nouveau.

Maria : C'est grâce à toi et à ton dévouement. Tu m'aides beaucoup à surmonter cette épreuve.

Hoshina : Tu sais j'ai cru que je ne te reverrai plus jamais sourire. Tu me faisait tellement peur, j'étais malade de te voir si désemparé.

Maria : Tu sais, tu fais un excellent homme à marier dit-elle calmement. Mais des fois tu négliges ta propre personne, c'est de ma faute.

Hoshina : Maria, combien de fois je devrais te le dire je ne veux plus entendre ces mots de ta bouche.

Maria : désolé.

Elle acheva d'étaler la crème solaire avec douceur, veillant à couvrir chaque centimètre de peau exposée. Une fois terminé, je m'allongeai sur le ventre, sur ma serviette, appréciant la chaleur du soleil qui enveloppait mon corps.

Le sable chaud sous moi et le bruit apaisant des vagues à proximité créaient une atmosphère de détente totale. À côté de moi, Maria s'installa confortablement, le visage détendu et les yeux clos, absorbant aussi les bienfaits de ce moment paisible.

Maria : En faite, j'essaie de me dire que l'on pourra toujours réessayer d'avoir des enfants... même si j'aurais aimé donner tout cet amour à celui-là.