Break Soul [EN COURS D'ÉCRITURE]

𝟎𝟗- 𝐜𝐫𝐞̂𝐩𝐞 ?✩

Lorsque nous arrivons devant la grande bâtisse, je reste bouche-bée face à la magnifique vue.

La villa se porte sur 2 étages, elle est composée de grandes baies vitrées et des palmiers entourent la grande maison. Je crois que je n'ai jamais vu une habitation aussi belle.

Quant à la vue, elle est toute aussi belle, comme la maison, des palmiers sont plantés partout. Le soleil matinale apparaît au loin. Je suis absorbée par ce que je vois, je n'ai pas envie de partir d'ici.

Une portière claqua, me ramenant à la réalité.

- Je te fais visiter ?

Tant de gentillesse pour une fois, comment ne pas accepter ?

- Je suis partante ! Je réponds, en ayant hâte.

Nous entrons par l'énorme porte d'entrée, et quand je passa la porte, je vis tout de suite l'immense salon.

WOAH !

S'en ai presque à m'en couper le souffle.

trois canapés asymétriques sont posés à trois endroits différents de la pièce, une grande table lorgne le salon, et une télé, UNE TÉLÉ !

Enfin.

J'avançai vers la cuisine dont les murs sont peints en noir, avec le sol blanc, mais pas n'importe quel blanc, un blanc satiné. C'est juste magnifique.

- Tu baves, je crois. Dit Alexandre.

J'ignorai sa pique, et décidai de changer de sujet.

- Tu peux me faire visiter l'étage ? Lui suppliai-je presque. Il doit sûrement me prendre pour une gosse mais là tout de suite, je m'en fiche. Cet endroit est splendide.

- À vos ordres, Milan.

Il me prit la main et nous mon...

Attendez.

Minute,

Il me prit la main????

Depuis que nous sommes arrivés, il s'est comporté de manière très calme, il n'a pas crié, ni haussait le ton. Et ne m'a pas fait plus de 2 remarques.

Que lui arrive-t-il?

Bref,

Reprenons :

Il prit ma main et nous montons à l'étage.

L'étage est composé de trois pièces :

- Ça, c'est la salle de bain. Commence-t-il en ouvrant une première porte.

La salle de bain est immense, connectant une grande baignoire avec une douche à l'italienne. les murs sont également noirs et pleins de petits miroirs sont collés aux murs.

- En suite, ça ce sont les toilettes, mais on s'en fou un peu.

A peine, ai-je envie de dire.

- Puis ici, c'est là où nous dormirons ce soir, notre chambre. Finit-il en ouvrant une dernière porte.

Ahah, très drôle. Je pense qu'il me fait une blague. C'est sur.

Sauf que lorsque j'avançai dans la pièce, je remarque qu'il ne plaisantait absolument pas.

Il y a qu'un seul lit.

C'est mort.

- Dans tes rêves, Loger. Tu dormiras sur le canapé. Nous ne partagerons pas le même lit, j'espère que tu en ai conscient.

- Mais qu'est ce que tu crois Edena ? Pourquoi penses-tu que j'ai pris un duvet ?

Ah. Sa gentillesse ne pouvait pas durer.