Political Love (Bardella X Attal)

Chapitre VI

Je restai seul dans la cuisine, encore un peu hébété par les événements de la nuit passée. Le goût du café et le soulagement procuré par les médicaments contre la gueule de bois me permirent de me sentir un peu plus humain. J'essayai de rassembler mes pensées, mais le flou persistait. Jordan m'avait aidé, ça c'était certain, mais quelque chose me disait que ce n'était pas toute l'histoire.

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Cela fait déjà 7 jours depuis l'incident et depuis, je n'ai pas croisé la route de Jordan. Je mentirais si je disais qu'il ne me manquais pas un peu.. Surtout pour l'aide qu'il m'a fournis lorsque j'étais en difficulté.

Dans quelques heures, c'est le débat crucial entre Jordan Bardella et moi même, je savais que je devais resté concentré.

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L'atmosphère dans la salle de débat était électrique. Les caméras étaient prêtes, les journalistes installés, et les spectateurs attendaient avec impatience les échanges passionnés qui allaient avoir lieu.

Je pris une profonde inspiration avant de monter sur scène, tentant de mettre de côté mes pensées perturbantes et mes sentiments.

Le débat débuta avec une intensité prévisible. Les échanges étaient vifs et les arguments fusèrent de part et d'autre. J'étais dans mon élément, défendant mes positions avec ferveur. Mais à un moment, en plein milieu de mon discours, mes yeux croisèrent ceux de Jordan.

— malgré.. n..nos.. Di..Divergence... bafouillai-je.

— Oui allez y continuez monsieur Attal. Dit une journaliste présente.

J'arrêtai de parler, et d'un coup une étincelle traversa son regard, et soudain, les souvenirs de cette nuit ressurgirent, clairs et précis.

Je me souvenais de l'appel, du trajet en voiture, de l'arrivée chez lui, de ses mots réconfortants... et surtout..

              ☆Flashback☆

— Eh puis merde... C'est toi tu as commencé Gaby.

— Hehe.. tous ce que tu veux jojooooo dit-il en souriant bizarrement.

— Putain..

       ☆Fin du flashback☆

Jordan et moi, nous nous sommes embrassés... et pas qu'une seule fois..

Mon cœur s'emballa et je sentis mes joues se chauffer, je perdis mes mots, laissant un silence embarrassant flotter dans l'air. La salle entière retint son souffle.

La journaliste du débat, sentant le malaise, intervint  — Monsieur Attal, tout va bien ?

Je clignai des yeux, tentant de reprendre mes esprits.

— Oui, excusez-moi. dis-je finalement, essayant de masquer mon trouble avant de rajouter — Je voulais simplement souligner que, malgré nos divergences, il est crucial de se rappeler que notre objectif commun est le bien-être de notre pays. Et parfois, cela implique de trouver des terrains d'entente, même avec ceux avec qui nous avons des désaccords profonds.

Jordan me fixait toujours, ses yeux cherchant une confirmation silencieuse.

Je pense qu'il a dû deviner vu comment j'ai réagi..

Je pense que nous devions avoir une petite discussion, mais ce n'était ni le moment ni le lieu.

Le débat se poursuivit, mais la tension entre nous était palpable. Je n'arrivais pas à le regarder dans les yeux..  Chaque échange de regards semblait lourd et gênant. Je détournai tous le temps le regard et je pense qu'il la remarqué car il n'a pas cessé de me fixer.

Sortez moi de la par pitié.

À la fin du débat, alors que la foule commençait à se disperser. Alors que j'essayai de me faufiler dans la foule, je sentis une main m'attraper l'épaule.

Jordan..

— Peux-tu venir quelques minutes ? Il faut qu'on parle murmura-t-il au creux de mon oreille.

Son souffle chaud me fit sursauter et je sentis mes joues se chauffer une énième fois.

          To be continued..

Coucouuu, je tenais juste à préciser que ce n'est pas vrai hein attal n'est pas amoureux de bardella alors svp si vous passez par là (Jordan et gabriel) c'est de l'humour HUMOUR !!!!