Ran enchaîne les conquêtes chaque soir, baisant tout ce qui bouge le temps que la personne est majeur, consentante et vivante au point qu'il ne prends même plus le temps de dragué correctement ou de demander le prénom des personnes qu'il emmène chez lui.
De toute façon, le matin il se faisait à manger en mettant limite la personne dehors alors à quoi bon se prendre la tête à retenir des informations sur ses proies alors qu'il les oublie dès que leurs corps franchi la porte d'entrée.
Mais contrairement à d'habitude, Ran était tellement bourré qu'il a baisé mais déjà il s'était fait dominé puis il ne se souvient plus du visage de cette personne alors qu'iel se trouve encore dans le lit à dormir pendant que Ran se fait des pâtes carbonara ayant envie de manger quelque chose de salé même si il n'était que dix heures du matin.
Ran se prépare à manger son assiette en espérant que son mal de tête disparaissent rapidement lorsqu'une personne qu'il ne connait trop bien débarque dans sa cuisine mais au lieu de s'énerver, le Haitani garde son calme après tout, il n'a pas à s'énerver alors que c'est lui qui l'a emmené chez lui et non l'inverse.
Ran : Mikey, alors c'est toi que j'ai baiser cette nuit on dirait.
Manjiro : c'est plus l'inverse vu comment tu gémissais comme une pute en m'appellent "bébé" comme lorsque nous étions ensemble.
Ran : ne te fais pas de film, je savais même plus avec qui j'étais.
Manjiro : pourtant hier tu savais que tu avais affaires à moi.
Qu'es ce qu'il est en train de dire ? J'aurai jamais étais le voir si je l'aurai reconnu surtout que je dois avouer que j'ai rarement autant bu alors il doit se faire des films.
Sans que Ran ne lui donne l'autorisation, Manjiro fait comme si c'était chez lui en se faisant une assiette lui aussi en se disant qu'il ne compte pas partir le ventre vide.
Manjiro : je vais te rafraîchir la mémoire, tu me disais que je te rendais fou et que j'étais le seul que tu voyais dans la boîte.
Ran : oh bordel, je m'en souviens maintenant... J'ai honte, fait comme ci hier ne c'était jamais passer.
Manjiro : faire comme ci rien ne s'était passé ? Tu penses que je vais oublier en un claquement de doigts que j'ai baiser avec mon ex ?
Il n'a pas tord, les autres je ne les connais pas alors j'arrive à les oublier dès que les personnes partent de chez moi mais lui, lui j'avais même emménager avec alors je ne risques pas d'oublier cette matinée gênante.
Manjiro : mais je peux te poser une question ?
Ran : bien sûr, demande moi ce que tu veux vu que tu n'es pas prêt de partir.
Manjiro : pourquoi m'avoir quitter comme une merde alors que maintenant tu as une réputation de pute et que tu es revenu me dragué dès que l'on s'est revue.
Ran : ...
Manjiro : je parle sérieusement, je commence à peine à t'oublier mais tu es revenu me voir et tu me disais des mots doux, des dizaines de personnes m'ayant prévenue que tu baiser tout et n'importe quoi !
J'ignore pourquoi je l'avais quitté en sachant que j'en étais amoureux, je crois que c'était la peur d'être vraiment attaché à une personne qui m'a fait le quitter et personnes n'arrive à le remplacer même ceux qui essaye.
Ran : la peur de t'aimer.
Manjiro : tu aurai dû m'en parler au lieux de me quitter et de baiser des putes !
Ran : oui bah c'est bon ! La chose est faite, on ne peut changer le passé.
Manjiro : certes mais on peut modifier le futur, rien n'est trop tard.
Ran : je sais où tu veux en venir et c'est non, on se remettra pas ensemble.
Manjiro : quels dommage, j'aurai essayé mais peux être que la prochaine fois tes méthode de drague à la con ne fonctionneront plus.
Ran: ça m'est égale, je suis pas du genre à sortir avec mes ex alors je te conseille de tourner la page au lieu de te faire du mal en pensant que on peut se remettre ensemble.
Manjiro ne réponds pas, les deux finissant de manger dans un silence gênant, le Sano finissant par partir s'habiller et de partir de chez le Haitani en se jurant de ne plus couché avec lui malgré qu'il en a envie.
Ran fermant la porte à clé en se promettant de ne plus boire autant car il ne doit plus emmené d'ex chez lui surtout si c'était lui qui avait mis fin à leurs relations, il se devait de ne plus se retrouver dans une situation aussi désagréable après avoir coucher.
Fin de l'OS.
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