Ma chérie, danse sur le mouvement,
Sois fluide, tel les sables mouvants,
Et souris, pense et aime tendrement.
Dans le vide, je t'observe souvent.
Tu me charmes de tes yeux amusés,
Ils sont si beaux, leur place est au musée.
Est-ce mon cœur que tu cherches à muser ?
Je le vois ainsi dans ton âme usée.
Mais ma reine, penses tu que l'on joue ?
Dans l'arène je ne vois que tes joues,
Et je n'entends que ton chant de sirène...
Arpège d'antan, tu es ma souveraine.
Approche, que mes courbes épousent les tiennes,
Accroche ta peau brûlante à la mienne.
Laisse moi prendre tes mains délicates,
Et accorde moi tes lèvres écarlates.
S-C
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La Salvatoride - Histoires & Élégies
Poetry"de la mythologie à l'histoire de cœur magnifiée..." Car la poésie est l'orfèvrerie des mots, et que cette dernière est la rêverie qui guérit les maux, en voilà un recueil complet plein de syncrétisme. Des poèmes d'il y a quelques années, des plus...