Adriana Ricci, une jeune photographe, se fait embaucher par une célèbre écurie de Formule 1, qui n'est autre que Ferrari. Elle va donc suivre l'écurie et ses pilotes pour toute la saison 2024.
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Mon réveil sonne, mais je ne l’arrête pas pour autant, au moins je l’ai entendu cette fois. Tant pis pour les voisins, je suis bien sous ma couette. Je reste bien au moins 5 minutes de plus, avant de me lever et d’enfin éteindre mon réveil, qui me cassait les oreilles.
Aujourd’hui nous sommes le 26 février 2024 et c’est mon premier jour de travail en tant que membre de l’équipe Ferrari mais c’est aussi le Media Day. Je suis si impatiente de commencer. Il faut que je me dépêche, je dois prendre mon petit déjeuner avec l’équipe dans 40 min.
Après avoir pris mon bain pendant 25 min il me reste que 15 minutes pour me préparer. Je m’habille très simplement d’un gilet en lin beige ainsi qu’un pantalon en lin de même couleur. Je me maquille légèrement et laisse mes cheveux au naturel.
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Avant de partir, je prend ma casquette Ferrari, mon sac à main, mes lunettes de soleil et bien sûr, mon appareil photo. Je regarde l’heure pour voir si je ne suis pas en retard, 8h28. Bon j’arriverai peut être un peu en retard mais si je me dépêche ça devrait le faire.
Je sors de ma chambre et me dirige vers l’ascenseur. Une fois dedans j’appuie sur le bouton du restaurant et attend patiemment la fermeture des portes quand j’aperçois un personne courir pour essayer d’avoir l’ascenseur, dont les portes étaient presque fermées. La personne réussi à les réouvrir et que fut ma surprise quand devant moi se tenait le pilote numéro 16 en tenue Ferrari. Il se plaça à mes côtés et j’engageais la conversation.
Moi : Toujours en retard à ce que je vois.
Charles : Tu peux parler, toi aussi t’es en retard.
Moi : Je suis une photographe, pas le pilote...
Charles : C'est vrai, mais ton rôle est aussi important je te signale. J'ai hâte de te voir jouer aux paparazzis d'ailleurs...
Moi : Tu te crois drôle ? T'as qu'une blague en stock ou tu sais juste pas en faire des nouvelles ?
Charles : Moi au moins je prends pas les autres de haut...
Moi : Je te prends pas de haut, je te rappelle juste que t'es lourd avec tes blagues.
Charles ne me répond pas, il rigole.
Une fois que les portes s’ouvrent je m’empresse de sortir de cet ascenseur et rejoins la table ou toute l’équipe est posée, suivit de Charles. Carlos nous lance un regard appuyé que j’ignore volontairement. Je m’installe sur une chaise et Charles fait de même sur la chaise à côté de moi. Une fois mes affaires posées sur la chaise je vais chercher mon petit déjeuner qui se constitue de pancakes, de fraises et d’un café pour me réveiller. Carlos qui se trouve en face de moi engage la conversation.
