Chapitre 20

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Depuis les flash-back de ce matin, j'essaie de passer outre le faite que j'ai parlée à Heeseung. Pour pouvoir ignorer ceux-ci, qu'y a-t-il de mieux que de sortir seule dans un café pas très connu et loin des regards ?

Alors que je m'apprêtais à sortir, des toques se font entendre sur ma porte.

Oh non, les paparazzi ont même trouvés ma chambre ?

Car oui, il m'est arrivé que des paparazzi trouvent ma chambre et postent des photos de moi à travers ma fenêtre ou même venir toquer à ma porte. Mais malgré tout, en ce moment, ça ne m'irrite pas plus que d'habitude car je suis préparée.

J'ouvre alors la porte, me préparant aux flash de caméras mais rien. Rien à part une grande silhouette de dos. Cette personne dois faire au moins trois têtes de plus que moi. 

Moi : Excusez moi ? C'est pour quoi ?

Rien.

Moi : Bon j'ai pas le temps pour ce genre d'idioties, je dois y aller.

Soudain, la personne se retourne alors que ma mâchoire manque de lâcher.

¤~°~¤

Moi : Du coup... Pourquoi est-ce que t'es venu ?

Heeseung : Pour passer du temps avec toi. 

Moi : Écoute Heeseung, ce que j'ai dis hier était totalement faux. J'étais bourrée et j'ai dis n'importe quoi.

Heeseung tu crois vraiment que je vais gober ça ? Tu ferais jamais ça. Et pour être tout à fait honnête, ta décision était totalement idiote. Comment tu as pu penser à nous quitter, à ME quitter en pensant que ça allait faciliter ton envole ?

Moi : Certes mais c'est fait, je n'ai plus aucun sentiments envers toi. Cette discussion ne nous mène nul part.

Heeseung : Ah oui ? C'est pourtant pas ce que tu m'as dis hier soir.

Moi : Heeseung, je te l'ai déjà dis, j'étais bourrée.

Heeseung : Et c'est bien toi qui m'a dis que tu dis exactement ce que tu penses quand t'es bourrée. Aria, dans une relation de deux ans, quel genre de petit ami serais-je de ne pas savoir ça ?

Moi : Non mais sérieux qu'est-ce que tu veux de moi ?

Heeseung : Que tu m'explique le pourquoi tu comment de cette maladie dans les détails. Qu'on recommence à se parler. Que...ça redevienne comme avant.

Je détourne le regard, de peur qu'il voit les larmes qui menacent de couler le long de mes joues. Mais j'ai trop pleurer, trop pour que ça reprenne.

Moi : Même si j'accepte, et que ça devienne comme avant, mieux qu'avant, à la fin, je meurs quand même.

Ça a beau être trash, c'est la dure vérité que j'ai acceptée depuis bien longtemps.

Face à ma réponse, Heeseung reste muet, ne sachant évidemment pas quoi dire. Quand il lève finalement les yeux.

Heeseung : Peut-être que je suis égoïste pour ça, mais je ne veux rien regretter. À propos de toi, moi, nous. Que tu meurs ou non, si notre "nous" s'arrête à jamais, je risque de regretter toute ma vie ce qu'on a manqué, ce qu'on aurait faire ensemble.

À ces mots j'essaie de garder mes larmes pour moi mais ma voix tremblant me trahit comme __ l'a fait.

Moi : Voilà, c'est cette situation que j'ai toujours voulu éviter, c'est cette situation que j'ai voulu que tu n'ai jamais en tête alors qu'elle me hantait. Je voulais que tu me haïsse. Que tu me déteste, que tu ne pense pas à moi. Mais tu es là, essayant de me convaincre de rester, de rester près de toi. Mais Heeseung, moi j'ai une question pour toi : Quand je partirais, que feras-tu ? Je ne veux pas que tu sois si attaché à moi, je veux que ma mort te sois indifférente, je veux que tu arrêtes de m'aimer.

Heeseung : Tu me demandes de te haïr ? De ne plus t'aimer ? D'être indifférent à ta mort ? Aria, si seulement tu savais que depuis que je t'ai vu pour la première fois, je n'ai pu te sortir de ma tête. T'es yeux, aussi sombre que le sopbre ciel un soir d'hiver, remplit de ses étoiles les rendant uniques. De tes lèvres aussi roses que l'intérieur d'un pamplemousse. Tout, tout ce qui m'entour me ramène à toi, toi ce qui m'entour me fait penser à toi. Alors non, je ne vais jamais te détester et ce n'est pas une question de choix, je ne le peux pas. J'ai beau vouloir m'en convaincre, je le sais, je le reconnais er je te l'avoue : Je t'aime encore. Même si cette situation n'arriverait jamais, je serais dévasté par ta mort, mais je n'aurai pas de souvenirs de nous, pas assez.

Pendant qu'il parle, je ne peux m'empêcher de laisser quelques larmes, mais pour les cacher, je baisse ma tête et regarde mes mains qui se tiennent fortement l'une à l'autre pour m'empêcher de trop trembler. Je l'écoute mais plus il parle, plus les larmes montent.

Il a raison. Mieux vaut avoir de bons souvenirs plutôt que pas assez.

Je laisse mes dernières larmes couler une fois qu'il finit et lève la tête.

Moi : Vous vivez dans un dortoir ou des appartements séparés ? Je veux aussi voir les membres.

Devant mes yeux se passe une chose que je ne pensais pas arriver de nouveaux. Les images que je vois me réchauffe le cœur comme la douce brise brise d'été en plein hiver. Il sourit, un sourire qui ferait fondre des glaciers, qui maintient la chaleur de mille soleil, qui donnerait au moins valorisés une raison d'essayer, de continuer. Il se lève soudainement et me tire de mon poignet. Il me serre contre lui, son torse musclé contre mon oreille, sentant son cœur battre au travers de son corps, écoutant son cœur battre aussi vite qu'une voiture de F1.

Je l'admet, j'avais attendu ce moment depuis très, très, très, très longtemps.

Il bouge légèrement son corps sans pour autant me lâcher, enroulant ses bras autour de ma taille, et me regarde droit dans les yeux.

Heeseung : On vit ensemble dans une maison. *Il marque une pause comme si il avait quelque chose à dire mais que elle lui était passé sous la langue* Oh ! Et Jay et Jungwon sont en couple. Ils gardent leur relation secrète pour le moment même si je trouve que Jay devrait la rendre publique vu qu'il n'est plus si jeune pour que les gens pensent qu'il puisse encore être célibataire.

Je rigole à ses mots alors qu'on sort du café, son bras autour de mes épaules pour qu'on puisse marcher en parlant.

Moi : Tu n'as pas peur qu'on nous voit ?

Heeseung : Mais non ~ Les ENGENEs t'aiment et puis en plus j'ai passé l'âge d'en avoir quelque chose à faire de ce que les gens disent. On va à Hybe ? Les membres vont être content de te voir.

Je rigole au début de sa phrase et hoche la tête pour la dernière partie, voulant à tout prix voir les membres, savoir qu'ils vont bien et tout le tralala.

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JE SUIS TERRIBLEMENT EN RETARD

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JE SUIS TERRIBLEMENT EN RETARD. Je suis désolée, pendant les vacances j'étais très occupé et n'ai quasiment pas touché à mon téléphone et la rentrée à été trèsssss longue et difficile. Ma classe est plutôt bien, en tout cas pour moi. Toutes mes potes sont avec moi et le reste de la classe est drôle. Comment est ta classe, à toi ?

Everytime [Lee Heeseung]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant