ghostin

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Une fois Jordan déposé, je fonce à l Élysé, la soirée était loin d'être aussi incroyable que la journée que j'ai passé.

J'arrive à l'élysé, et Jordan me manque déjà...je crois que ces lèvres me manque.

En arrivant devant le bureau de Macron, mon corp se fit lourd, une peur s'empara de moi sans prévenir...j'avais besoin de parler à Jordan, je devais lui parler de Macron et de ce qui c'est passer.
Mais avant que je ne puisse faire demi tour la porte s'ouvrit sur Macron.

- Gabriel...tu as fais l'effort de venir !
Dit il d'un ton méprisant.

Je ravale ma colère il n'est pas question qu'il est mon attention...

- je suis là oui...

- les résultats on intérêt à être bon, puisque tu ne semble obéissant que quand un homme est violent je ne vois pas d'autre manière d'agir !

C'est propos me donner envie de vomir, j'étais sous le choc sentant une haine monter en moi, mais je ne voulais pas risqué de mettre Macron en colère alors j optenperes

- je suis sur qu'ils le seront mr le président.

Macron me regarde l'aire satisfait que je rampe à ces pieds, il aimait le pouvoir qu'il avait sur moi, et je le sentais, ça me révulser...de voir à quel point j'ai pu gâcher ma vie pour ce salaud.


* point de vue de Jordan

Je suis au QG du RN, je suis acceuilli par Marine qui me serre dans ces bras me demandant comment était ma journée avec Gabriel...mais bientôt je vis apparaître Nolwen, elle aussi venu voir les résultats...

- Salut Jordan, pouvons nous parler un instant ?

- salut nolwen, tout naturellement allons y.

Nous nous retrouvons à deux dans une pièce à l habri des oreilles indiscrètes et des vautours

- que veux tu Nolwen ?

Nolwen avait un sourir que je n'appréciais guère...une panique me submerga

- te souviens tu de quand on a coucher ensemble..., tu n'étais pas vraiment toi même n'est ce pas ?

- pour tout te dire j'ai oublier, complètement ce qui c'était passer pendant qu'on faisait...attend, tu ne m'as quand même pas...

- que quoi...vas y Jordan, dit le ! je t'ai juste utiliser. tu sais j'ai des vidéos maintenant...et je suis prête à les publier si tu ne m obéis pas !

J'étais en plein cauchemar, elle m'avait vio..., elle m'avait vi..., putain, nan pas ça, je suis si vulnerable sur la vidéo mais elle paraît très réaliste...

- tu imagine une fuite comme ça...ta carrière serait fini, tu serai fini...sauf si, tu joue selon mes règles et conditions !

Je serre les points...que voulait elle

- Tu veux quoi ?!

Nolwen sourit de plus belle.

- je veux que tu coupe les ponts avec Gabriel ! Si ma vidéo ne suffis pas je me chargerai de lui aussi, je connais une personne qui veut autant que moi que Gabriel meurt...alors à toi de voir, sois tu lui brise le cœur, sois je lui arrêt

- tu n'es qu'une folle, t'es complètement cinglée, laisse gaby en dehors de ça !

Nolwen sourit, marrachant des frisson de terreur, ma vue s obstruait, ma respiration était rapide...et je ne pouvais plus contrôler mon corps

- tu sais ce que tu as à faire alors...allez bisous mon Jordy !

Elle sorti de la pièce, me laissant là, paniquer complètement paralyser par la peur et l'angoisse, que pouvait elle faire à gaby, je ne voulais pas y penser mais il faut que je le mette en sécurité...je sais que je vzis regretter mes actes...mais je nai pas le choix, je sors mon téléphone puis je compose un message à Gabriel.

* mon chère Gabriel

Je me rend compte que ce que nous vivons va trop vite pour moi, je souhaite mettre de la distance entre nous...je ne suis plus sur de ce que je ressens, et je n'ai pas envie de te mentir.

Jordan

Les larmes coulaient, j'avais envie de mourir, je ne voulais pas appuyer sur cette touche envoyer mais...je le fit, pour lui, pour moi...je savais que nolwen était folle, qu'elle pouvait me faire mal...mais de cette façon là...comment avais je pu laisser ça arriver.

Gabriel...je t'aime...

* point de vue de Gabriel

- Attend quoi ?! C'est une putain de blague.
M ecriai je en voyant le message

Je prend mon téléphone, rédigeant une réponse, j'avais les yeux brouillaient de larmes, ma respiration se faisait difficile...je sentais qu'il n y avait pas de hasard, je le sentais en danger

* Ma visions se trouble à ton message Jordan...comment tu peux me dire ça alors qu'il y a deux heure encore on s'aimer, que ce matin on a, à moitié coucher ensemble...

Jordan, dis moi que ce n'est qu'une blague ridicule...je t'aime, je vais m'améliorer...

Je ne veux pas te perdre, je ne saurai pas vivre sans toi à présent...

Nan, nan je ne pouvais pas le croire...
J'attends une réponse mais rien, un simple " vu "

Le "vu" qui me plongea dans une douleur insurmontable...et au niveau de la douleur, ce soir je n'étais pas près de m'améliorer, les résultat étaient tombés...

30% RN, 20% LFI et seulement 15% pour mon parti...

Le président se tourna vers moi, chassant toutes les personne qui étaient dans le bureau, refermant les porte doré derrière ma carcasses, qui bientôt se vidra de son sang...mais étrangement je n'avais pas peur, je le voulais.
Stephan avait raison, je suis condamner à souffrir alors autant m'entraîner à supporter la douleur, physique et mentale...comme je l'ai toujours fait.

Ce soir là fut le soir où le président me montra son vrai visage...sa haine et sa violence qu'il dissimulait depuis longtemps...j'ai eu mal, oh ça oui j'ai eu mal...mais pourtant, rien ne me faisait plus mal que ce ridicule petit "vu" au moment où j'avais besoin de lui...ici...avec moi.

Jordan...pourquoi m'as tu fais ça, du ghosting alors qu'on avait coucher ensemble...tu m'as fait mal, mais je ne peux m'empêcher de penser qu il y a autre chose...

Mais en attendant c'est avec la lèvre fandu, les bras, la tête emplis de bleues..., des côtes fêlé et des jambes fracasser que je me dirige vers l hôpital, là bas on me demande d'appeler une personne de confiance...et je demande à ce qu'on appel mamie huguette, Jordan m'avait laissé, je dois lui laisser du temps ou de l'espace, ce qui m'arrive n'est plus son problème.

Cest ce que je pensais, sans me doutais une seule seconde qu'un paparazzi m'avait pris en photo, dans ce piteu état, sur la route, me battant pour rester debout...peut être allé t il la publier dans un article, ou dans une vidéo de reportage ou tiktok...mais je m'en foutais, je n'avais pas eu assez mal, je n'avais pas assez pleurer, je me hais...depuis mon enfance, et aujourd'hui je me déteste encore plus d'avoir montrer ma vulnérabilité...

Jordan...je t'aime...mais à tes demandes je te laisse de l'espace et tu n'entendra pas parler de moi.

Puis mes force me quittant je tombe dans le noir, je tombe dans l'oublie...je suis heureu, je me sens léger dans ce sommeil, sur ce lit d'hôpital que je ne sens plus à présent...je pars, mais je sais qu'un jour je vais me réveiller, demain ou le jour d'après, peut m'importe...car je ne souffre pas en ce moment...

Jordan, Moi Et Nos Ebats ( Premier Tome )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant