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📍Paris, France
21 avril

A L E E N A

L'ambiance est pesante

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L'ambiance est pesante.

Zyon bien qu'il reste dans la chambre ne m'accorde aucune importance.

De ce fait, mon regard dérive très souvent de mon téléphone à lui. Aucune de toutes ces fois nos yeux se sont croisés, comme ils le font habituellement.

Je soupire de nouveau lourdement et laisse mon téléphone tomber sur ma poitrine.

La situation me saoule.

Zyon.

Il ne réagît pas.

Zyon...

Ses yeux clairs se posent enfin sur moi.

— Je... on peut parler ?

Zyon — Je croyais que tu voulais pas qu'on le fasse tout a l'heure ? Il dit avec toute la froideur dont il est capable.

J'ai soufflé.

Tu penses que j'ai aimé me faire traiter d'infidèle ?

Zyon — C'est bien ce qui semble se passé depuis quelques temps hein.

— Mais de quoi tu parles ?!

Zyon — Tu rentres tard, tu trouves des excuses bidons pour sortir, tu texte quelqu'un en souriant niaisement quand je te demande tu oses me regarder dans les yeux en me mentant. Je crois que t'oublies que je sais lire dans tes yeux, Aleena.

Ses propos m'ont fait plus sourire qu'autre chose. Je croyais vraiment que Zyon m'accordait moins d'importance à cela m'a prouvé que c'était pas le cas.

Un rire nerveux s'est échappé de ses lèvres, ne comprenant sûrement pas ma réaction.

Zyon — Ça t'amuses ?

Je penche légèrement ma tête sur le coté mes yeux se promenant sur lui.

Ça me rend heureuse que tu te soucie toujours autant de ce que je fais malgré vingt-cinq ans de mariage...

Je me suis levé tandis qu'il fronce les sourcils. Je m'arrête devant lui et m'installe sur ses genoux.

Zyon — Aleena. Ça sonne plus comme un avertissement qu'autre chose.

— Je te trompe pas, je le ferai jamais, jamais, Zyon.

Zyon — Comment tu expliques tes agissements de ces temps-ci alors ?

J'ai juste déverrouiller mon téléphone pour lui tendre avec la conversation ouverte.

Ses sourcils se froncent.

Zyon — C'est quoi ça ?

— La preuve que je ne te trompe pas. Mes sorties inhabituelles, mes sourires etc sont dues à ce voyage que je prévois depuis quelques semaines pour fêter notre vingt-cinquième anniversaire de mariage, Zyon.

Ses yeux se sont écarquillés.

Zyon — Pourquoi tu m'en avais pas parlé plutôt ?

— Je voulais que ça soit une surprise pour toi.

[...]

K E L L Y A N N A

— Arrête de me crier dessus, je suis pas ta fille Jahseh !

Jahseh — Non mais tu es ma fiancée et putain tu mérites de te faire crier dessus. T'as pas vue la position dans laquelle t'a mise ta mère ?

— Mais quoi, j'ai juste dit la vérité !

Jahseh — Même t'avais pas à lui crier dessus, tu crois qu'on est dans super nanny pour te comporter comme ça ?

— T'es en train de me traiter de sale gosse la ?

Jahseh — Je te traite pas de sale gosse, c'est ce que tu es Kellyanna.

J'ai rigolé nerveusement.

Si je suis une si sale gosse que ça va en trouver une qui saura être sage et polie. J'ai fait demie-tour pour le laisser planter seul au salon.

Sa main a saisie la mienne.

Jahseh — Tu vois c'est ça ton problème tu t'emportes beaucoup trop vite. J'ai dit que t'es une sale gosse pas que ça me dérangé, façon ça me permet de te dresser. 

— Je suis une chienne pour que tu me dresses ?

Jahseh — Hm que la mienne, je dirais.

Sans attendre, mon pied ses retrouver entre ses jambes. Il s'est plié en deux en lâchant ma main, je l'ai regardé de haut en rigolant.

Apprend à bien dresser ta chienne alors.

Jahseh n'arrive même pas à parler à cause de la douleur. Après quelques minutes, il s'est relevé avec le regard qu'il m'a lancé j'ai directement courue.

C'est peine perdue vue qu'en à peine deux pas, il m'attrape. Mon corps se retrouve projeté sur son épaule et je le vois ouvrir la baie vitrée pour nous diriger vers la piscine.

Non, non pas ça, désolé je referai plus.

Il m'écoute pas et saute dans la piscine nous emportant tous les deux.

J'ai l'impression que mes poumons se sont entièrement vider de leur contenu. Je le serre très fort contre moi.

T'es un putain d'imbécile, Jahseh Jefferston.

Jahseh — Dixit celle qui a voulu nous empêcher d'avoir des enfants.

Tu exagères grave là, c'était qu'un petit coup.

Jahseh — Continue, je te noie.

Je roule des yeux.

[...]

J'aime pas le calme la 🚮

  𝐊𝐄𝐋𝐋𝐘𝐀𝐍𝐍𝐀 • 𝑳𝒂 𝒗𝒊𝒏𝒅𝒊𝒄𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆Où les histoires vivent. Découvrez maintenant