Quand la politique s'efface... (bardella x attal)

Un

Yo la team

Je débute une nouvelle fanfic de nos chouchous attal et bardella !!

Je préviens à l'avance que la chronologie et la logique ne seront pas trop respectées, pour rendre l'histoire plus fluide et plus peps.🪩

Si vous voulez une fanfic où les éléments de la réalité sont présent, je vous conseil celle qui est déjà sur mon compte !

J'essayerais de sortir un chapitre par jour !

Désolé si il y a des fautes d'orthographe je ne suis pas pro...

Bonne lecture mes stars !!

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Les mains de Gabriel étaient crispées sur son sac de travail. Il était vingt heure et il venait de finir sa journée de travail. Mais cette fois-ci, il ne rentra pas chez lui, en effet, il avait une réunion privé avec le président du Rassemblement National : Jordan Bardella.

En soit, ce n'était pas une réunion importante, ils ne seraient que deux et elle ne durerait pas longtemps, seulement, pour Gabriel, elle était cruciale.

Après avoir vu les résultats catastrophiques des récentes élections, Gabriel devait agir. Le Rassemblement National était en tête, ce parti qui tenait fréquemment des propos homophobes était en tête de liste.

Gabriel était dégoûté par ce parti, principalement à cause de leurs opinions sur ce point, affirmant lui même son homosexualité. C'est pour cela qu'il devait faire quelque chose au plus vite !

Son but ce soir : discuter avec Jordan Bardella pour tenter de lui faire changer d'avis sur ce sujet, qui lui tenait un peu plus à cœur que les autres.

Au lendemain des élections, Gabriel faisait d'une pierre deux coups en choisissant le président du RN ainsi que l'un des membres le plus jeune du parti pour discuter.

Mais, entre la fatigue et le stress constant de son poste, il n'était pas sûre d'être totalement prêt à cette discussion. Et le fait que le Rassemblement National soit en tête n'arrangeait rien à tout cela.

« Aah vous êtes déjà là Monsieur Attal ! »

Gabriel sursauta, il était plongé dans ses pensées et ce retour à la réalité par la voix grave de son ennemi politique lui était un peu trop brutal.

« Oui Monsieur Bardella, il est 20:13, c'est vous qui êtes un peu en retard ! » déclara t-il en se levant pour lui serrer la main.

« Pardonnez-moi, j'avais déjà une réunion avant celles-ci et elle a un peu traînée. » s'excusa Jordan Bardella. « Pourquoi vous avez demandé une réunion à cette heure tardive ? »

« Bien, je voulais juste discuter rapidement d'un sujet qui me tient à cœur avec vous. » expliqua le premier ministre en invitant son adversaire à s'assoir en face de lui.

Ils entamèrent une longue discussion sur les futurs projets de lois du Rassemblement National en passant par les propos et les attaques homophobes déjà déclaré par de nombreux membres du parti.

Gabriel remarqua à plusieurs reprises que Jordan Bardella n'allait pas au bout de ses propos, comme s'il n'assumait pas complètement de penser ce qu'il pensait.

En voyant que la conversation prenait un ton agressif, Gabriel préféra s'arrêter.

« Bon, je penses qu'on devrait y rester là... » commença le premier ministre.

« Pourquoi vouliez vous qu'on discute de ça maintenant ? » coupa Jordan Bardella. « Vous êtes inquiet en vue des résultats des élections ? Ou bien vous avez peur pour votre avenir en tant que personne... homosexuel ? »

« De toute façon cette réunion n'aura servit à rien ! » riposta Gabriel. « Je pensais qu'en tant que représentant de moins de trente ans, vous seriez un peu plus ouvert à la discussion... », il se leva et ramassa ses affaires, sans cacher son agacement.

Sur ce, il quitta la pièce sans prendre la peine de le saluer avant de partir. Ses efforts n'auront pas porté leurs fruits et Gabriel se sentait encore plus inquiet face à la montée de l'extrême droite au pouvoir. Décidément, il détestait cet homme ainsi que tous les membres de son parti politique.

Il espéra que Bardella ne parle pas de cette réunion à ses collègues, pour dire vrai, Gabriel avait réclamé cette réunion plus par rapport à sa situation personnelle plutôt qu'autre chose.

Bardella avait peut-être dit juste, peut-être qu'il avait peur pour son avenir ? Peut-être qu'avec le RN au pouvoir, il ne pourrait plus accéder à la PMA ou même se marier avec un autre homme ?

Gabriel était profondément déçu, il aurait aimé convaincre le président du Rassemblement National, mais il s'est sûrement plus ridiculisé qu'autre chose.

En arrivant chez lui, il souffla un bon coup, se posa sur son téléphone, et essaya tant bien que mal de penser à autre chose. Mine de rien, cette discussion d'à peine trente minutes s'était avérée très épuisante pour le jeune politicien.

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Jordan marchait dans les couloirs du siège du Rassemblement National, l'air rêveur. Il repensait à la réunion à laquelle il venait d'assister.

Il aurait pu avoir de l'empathie envers le premier ministre qui avait laissé sa vie privé empiéter sur sa vie professionnelle, mais non.

Il se dirigeait directement dans le bureau de Marine Lepen, une collègue mais surtout une grande amie à lui, pour lui raconter le petit dérapage du premier ministre.

Jordan souriait déjà en imaginant la réaction de Marine. Trouvez une meilleure façon de finir la journée qu'en se racontant des gossips avec une vieille amie ! Surtout quand ça concerne un ennemi commun...

Le président du RN toqua à la porte du bureau de Marine mais personne ne répondit. Il patienta encore quelques instants avant d'entrer malgré l'absence de celle-ci.

Elle finissait toujours sa journée tard le lundi alors c'était étrange qu'elle ne soit plus dans son bureau. De plus qu'il connaissait son emploi du temps et aurait été au courant si jamais elle avait quelque chose de prévu.

Il ne se posa pas plus de questions et fit demi-tour. Il allait quitter la pièce lorsqu'il vit un dossier avec sa tête dans un coin du bureau. Intrigué, il se rapprocha, en vérifiant bien que personne n'était caché dans un recoin de la salle.

Il se retenu de crier en voyant le titre du dossier...

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