___________________PRÉCÉDEMMENT
Je m'installe délicatement sur mon lit et me couche avant de tomber dans les bras de ma go Morphée.
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ORANJESTAD (ARUBA)
10:27 am-Perfecto !!! Ay sexy mamii !!!
Je souris grandement après avoir réussi mon chignon après 35 min de souffrance. La voix de Tìa retentit m'indiquant qu'elle m'attend pour le petit déjeuner.
-J'ARRIVE TÌA !
Je m'asperge de parfum, lisse vite fait ma longue robe blanche et sors rapidement avant de marcher rapidement pour la rejoindre dans le jardin. J'ai tellement faim que mon regard n'est que sur la table garnie.
-Tìa je suis laaaa !!!
T. Adrianna: Arrêtes de courir mi hija, tu es convalescente fais attention.
Je lui souris et lui embrasse la joue.
-T'inquiètes pas pour moi, regarde.
Je lâche tout doucement mes béquilles et marche pas a pas tout doucement vers elle. Je grimace de douleur mais persiste et le regard fier de Tìa m'encourage et je réussis à marcher même si je boîte.
-TÌA J'AI RÉUSSI, JE MARCHE SANS MES BÉQUILLES !!!
Je hurle de joie et des larmes de bonheur ruissellent sur mes joues. J'ai tellement prié pour rétablir intégralement, quand je me suis réveillée et que le médecin m'a annoncée que j'avais perdu l'usage de les jambes pour une certaine durée interminable sur le coup, j'ai cru que j'allais mourrir. Si j'avais eu une arme à portée de main, je me serais tirée une balle. Ça a été les moments les plus durs parce que je ne pouvais rien faire sans l'aide de Tìa, absolument rien. La rééducation était tellement douloureuse, mais avec le soutien de ma famille qui m'appellait tout le temps et l'aide de Tìa aujourd'hui je marche sans problème. Elle se précipite vers moi et me serre dans ses bras.
T. Adrianna: Meu Deus, minha filha. Je suis tellement heureuse tu n'imagines pas.
Elle passe ses mains sous mes yeux pour essuyer mes larmes.
T. Adrianna: Je suis tellement fière de toi.
Je lui souris et m'assieds à ses côtés.
T. Adrianna: J'ai parlé à mon fils, s'il te plaît ne le repousse pas.
-Tìa souffle tu connais ton fils mieux que moi, si il ne t'a pas expliqué les raisons de mon mutisme, c'est qu'il sait que tu ne seras pas d'avis avec lui.
T. Adrianna: Qu'est-ce qui t'empêche de m'en parler ? Je vois que ça te pèse.
-Je ne veux plus tellement en parler.
T. Adrianna: Arrête de me prendre avec des pincettes, qu'est-ce que cet idiot t'a fait ?
Je souffle et lui raconte tout de la soirée où je l'ai rencontré pour la première fois à notre dernière discussion lors du gala en omettant volontairement les scènes pouvant relativement porter atteinte à son jugement sur moi.

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MERCEDES
Narrativa generaleOn dit souvent que la mort est l'un des remèdes à la souffrance, à la douleur. Qu'il y a des souffrances que seule la mort peut soulager. Eh bien, je pense que c'est la realité. Après tout, vaut mieux abréger la vie de quelqu'un qui souffre contin...