22

203 15 0
                                    




__________________

PRÉCÉDEMMENT

-Regarde.

Najat: ah ouais, c'est un vrai....bonbon.

-Je te le fais pas dire.

_________________












Venustiano Carranza (Mexique)
10h47 am







La chaleur me gifle dès que je pose un pied hors du jet.

Bordel.

Rosko: J'avais oublié la chaleur du Mexique putain.

-Si c'est comme ça tous les jours je risque de fondre.

On monte dans le van qui nous attends sur le parking de l'aérodrome.

Najat: C'est beau.

-Pourquoi tu mens ? Ce n'est pas parce que c'est le pays de ton mec que tu vas mentir oukhty.

Najat: La ferme. En rougissant

Je rigole en regardant le paysage. C'est assez différent de ce à quoi je suis habituée aux États-Unis. On vivait pas dans le grand luxe depuis la mort de nos parents mais c'est largement mieux qu'ici. C'est vraiment dommage de voir comment certaines personnes vivent dans une précarité pareille alors que d'autres portent une tenue qui vaut des milliers de dollars une seule fois dans leur putain de vie.

Drôle de vie.

Le moteur de la voiture s'arrête devant une magnifique villa, qui fait limite tache dans ce décor délabré. Et juste à côté, il y'a un hangar, un très grand hangar avec des gros gorilles qui sont postés à l'avant armés de la tête aux pieds.

Gorilles: Bemvindo Jefe.

Il hoche la tête ce petit impoli avant de pénétrer dans la maison.

-Coucou les gens.

Je leur souris avant que Rosko ne les salue et me tape l'arrière du crâne pour que j'avance.

Joker: Choississez les chambres pour y ranger vos affaires, Ros' on y va.

Je cherche une chambre et rentre dans la première que je trouve, absolument magnifique.

??: Dégage, c'est la mienne.

Je roule des yeux en entendant la voix de cette chimère de Isadora.

-Je crois pas non.

Isadora: C'est la chambre que j'ai l'habitude d'occuper quand je viens ici.

-Je m'en bas les couilles ma belle, cette fois-ci sera une exception.

Isadora: Je vais le dire à Joker.

-Encore une fois je m'en bas les couilles.

Elle me pousse violemment avant de rentrer dans la chambre. Je cogne brutalement le mur et et ma tête claque conte celui-ci.

MERCEDESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant