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PRÉCÉDEMMENT

Je tiens à mémoriser leurs noms parce que la tombe de mes parents que si je sors d'ici, ils vont réellement le payer avec les intérêts.

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J'entends un bruit provenant de la serrure de la porte qui attire automatiquement mon attention. La porte s'ouvre sur Romanov qui me sourit grandement.

Hum, ça pas bon pour moi.

J'ai un vrai mauvais présentiment.

Romanov: Tu sais WOOD, j'ai beaucoup attendu ce moment. Celui où tu seras en position de faiblesse sans que Joker ne te surveille.

Il tire mes cheveux brutalement en arrière.

-T'es qu'un gros malade.

Romanov: Je me suis longtemps demandé pourquoi il te protégeait à ce point, mais je comprends maintenant. Tu es super bonne. en claquant mes fesses

J'ai envie de vomir, il est tellement dégoutant.

-Me touches pas putain.

Il serre mon cou de ses doigts sales.

Romanov: Même en étant attachée comme la chienne que tu es, tu trouves encore le moyen de l'ouvrir.

Je m'apprête à répondre quand je me reçois un violent coup dans la mâchoire.

Encore j'ai envie de dire.

-T'es qu'un gros connard, t'es même pas capable de t'opposer à un homme comme toi. Un gros faible qui s'en prend à une femme qui peut lui niquer sa race.

Je crache de toutes mes forces le plus gros mollard de mon existence remplie de sang sur sa grosse face de rat.

Il s'essuie le visage complètement rouge de colère avant de se mettre à me ruer de coups.

Je crois que j'ai touché sa fierté.

Romanov: Me niquer moi ? Pour qui tu te  prends ?

-T-tu sais tr-très bien que s-si je n'étais pas attachée, j-je t'aurai bou-bouffée sans problèmes.

Il s'énerve encore plus et me fous un coup phénoménal dans le ventre. À l'allure où vont les choses, je crois que je vais mourrir. Il me traîne jusqu'au mur, où il me laisse tomber brutalement.

Purée mon dos.

J'ai la tête qui tourne, tout mon corps me fait mal, really.

Il prend mes bras et attache mes poignets avec les grosses chaînes pendues au mur. Je hurle mais avec le bâillon c'est peine perdue.

Je ne veux pas subir ça encore une fois.

Tout mais pas ça.

Je gigote de toutes mes forces, il me frappe violemment au ventre avec son pieds. Purée. J'ai failli vomir tellement que j'ai mal.

Il est tellement dégoûtant ce mec.

Mes poignets me lancent. J'ai du mal à respirer et j'ai mal partout. Vraiment partout.

Romanov: Tu sais que tu es une des plus belles femmes sales que je n'ai jamais vu.

Sales ?

Romanov: J'aurai pu t'épargner si tu étais plus blanche.

Rire nerveux.

Donc là je vais me faire violer parce que je suis noire ?

Dans quel putain du monde vivons-nous ?

MERCEDES Où les histoires vivent. Découvrez maintenant