CAPTIVE DU RUSSE : LES FRÈRES KOSLOV [ TOME I ]

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PDV de Pavel:

- Fais vite , soufflais je exaspéré de son retard en faisant les cent pas devant le dressing tout en manipulant mon téléphone.

- Oh ça va j'ai presque fini , il ne me reste qu'à porter mes talents.

- Ça fait plus d'une heure que tu me répètes la même phrase.

- Me voilà, dit cette magnifique et douce voix.

Je me retourne et là je la vois habiller d'une magnifique longue robe noire qui moule bien ses rondeurs de déesse sans bretelles ayant une fente qui révèle sa jambe droite et un bustier révèle le début de ses seins. Elle porte des talons rouges et un rouge à lèvres de la même couleur, elle s'est maquillée légèrement.

Elle me sourit et fait un tour sur elle même puis me demande :

- Comment tu me trouves ?

- Je n'aurai jamais dû t' offrir cette robe , me plaignais je.

- Essaie encore, bouda t' elle.

- Tu es tellement bandante que je n'ai plus envie d'aller à ce gala afin de te baiser ta petite chatte, dis je d'une voix très rauque révélant mon désir.

- En langage normal, répliqua t'elle en souriant non sans rougir.

- Tu es magnifique ma petite ved'ma, grognais je en me retenant de sauter sur elle.

- Merci, et toi tu n'es pas mal ton costume noir, dit elle avec les yeux brûlant de désir.

- Pas mal seulement ? Demandais je en faisant mine d'être vexé théâtralement.

- D'accord tu es très beau, rectifia t' elle en se mettant sur la pointe des pieds pour m' embrasser mais sa petite taille l' en empêche, alors je me courbe pour qu' elle atteigne mes lèvres.

A bout de souffle, nous nous séparons puis elle se plaint :

- Je dois jouer au basket pour prendre de la taille.

- Moi j'aime ta petite taille, elle m'aide à mieux de te baiser quand tu es à quatre pattes, dis je en empoignant l'une de ses fesses.

Ses joues virent au cramoisies puis elle réplique :

- Ça t' arrive de finir une phrase sans faire allusion au sexe?

Je fais mine de réfléchir puis lui répond avec un grand sourire :

- Non.

Elle pouffe de rire, je lui prends la main et l' entraine en dehors du manoir, je lui ouvre la portière de ma Lamborghini, elle se retourne vers moi puis me dit en souriant :

- Tu as pris des cours pour sur comment être un gentleman ou quoi ?

- Très drôle, réponds en grimpant dans ma voiture puis je démarre pour aller au gala de charité.

Trois mois sont passés depuis qu'on couche ensemble, trois mois pendant lesquels je l'ai baisé dans toutes les pièces du manoir dans diverses positions malgré ça je la désire encore plus.

Pendant ces mois passés nous avons cherché Irina Stravinski et son complice mais nous n' avons eu aucune information et mon petit frère est toujours dans le coma.

Je sors de mes pensées quand une petite main chaude se pose sur ma cuisse , me procurant des frissons. Je me tourne vers elle et elle fait remarquer avec un petit sourire :

- A force de serrer le volant , tes phalanges deviendront blanches.

Je regarde mes mains et en effet je remarque que je serre trop le volant. Je desserre mes mains puis continue à conduire. Le trajet se fait en silence, nous comptemplons le paysage de Moscou dans cette nuit noire et froide.