Ma belle (TOME 1)

Chapitre 32 : tu as ... changé

500 vues merci 🫶🏻

Avec les haut et les bas que j'ai eu, cela me remonte le moral au maximum.

Même si je sais que très peu de gens vont lire le message, merci tout de même.

Tw ⚠️: sexe

Kiss. L.D

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Vibes du chapitre : Ma muse de Nej

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Victoria

Deux mois plus tard

Je n'ai point les mots pour décrire les moments que j'ai vécu ces derniers mois. Ma bulle n'existe plus, la routine est dans mon passé, je suis libre. Tel un oiseau dans les airs, un prisonnier libéré de prison. Giulia a accepté de m'accorder une seconde chance,  Nike est devenue un peu plus mature qu'avant, William a une petite amie pour la première fois, Ruby, Elliott qui a fêté ses 5 ans dernièrement et mon autre frère est partie je ne sais où. Ma mère est devenue plus gentille avec moi ... c'est bizarre, malgré qu'elle m'a toujours aimé, elle est présente plus souvent qu'avant. Tout semble parfait en ce moment. Hormis un détail.

Phoebe ne me parle plus, Haynes, Apollo, Lizi et Killian aussi. Je crois qu'il ce sont rendu compte, en même temps tu as fuit un gang qui travaille pour la mafia. Un gang qui était devenue ton ancien refuge ... Mais aussi m'a détruite. Un second viol plus un kidnapping. Raison valable.

En approche de Noël, je comptais passer le réveillon avec ma famille. Je scroll sur internet pour trouver un cadeau parfait et pas trop chère pour Elliott. Quelqu'un entre dans ma chambre, ma mère.

- Il y a quelqu'un qui t'attend dehors. Dit-elle.

Ici, je n'ai pas d'amie à par Giulia et toute ma famille est ici. Je descend à toute vitesse des escaliers, manquant de me ramasser la gueule par terre. La porte s'ouvre et me laisse voir un visage que je reconnu de si peut. Un visage que je n'avais pas vu depuis deux mois, un visage qui m'a fait plus de mal que de bien.

- Victoria ... Dit-il.

Prise de panique, je lui claque la porte au nez. Son bras l'a coince m'empêchant de m'échapper sans qu'il m'attrape.

- Je veux juste parler. Crie-il.

Ma mère arrive devant moi, mon doigt se pose sur mes lèvres pour faire signe de se taire. Mais à ce moment là, je n'avais pas penser qu'elle lui avait ouvert la porte. Ma mère se barre en fermant la porte coulissante qui sépare le salon et l'entrée, ma force commence à diminuer me laissant craindre de devoir lui parler.

- Je veux te dire là putain de vérité.

Et là, mon corps lâche. Le mot vérité retentit dans ma tête comme une alarme au réveil. Ma main poigne la poignet pour lui ouvrir grand et faire face à lui.

- Tu m'as mentit depuis le début ? Dis-je.

- Cacher, cacher est le bon mot.