Il accélère de plus en plus, tandis que je fermaient les yeux afin de ne pas voir ce qui en suivi. Esquivant de peut une voiture il ralenti et s'arrêta.
J'ouvrit prudemment les yeux et descendit de la moto il descendit a son tour.
Je le fixais d'un regard avide puis lui lança des coup de poing dans le poitrine.
Il me saisit les deux poignets.- tu a failli nous tués tu te rends compte espèce de débile
- ce qui s'est pas produits calme toi
- j'ai une mère qui m'attend, tu n'en faisait qu'à ta tête et tu a failli mettre fin a mes jours
Il lâcha mes mains
- si ça te fait du bien vas y frappe
Et je me suis laissé emporter en le frappant de toute mes forces.
il fesait des petits pas en arrière mais rien de grave.Fatiguée de le frapper je me laisse écroulé sur sa poitrine.
Je refusait de l'admettre mais j'avais peur appuyer contre lui je ressentais une vague d'émotion s'emparer de moi.
- ça va bien viens allons marcher
Je secouait la tête affirmativement
On marchais un peu puis on s'arrêta près d'un parc. On étaient comme deux enfants perdus dans une salle de jeu.
On a mangé du Barbapapa, de la crème glacée, des saucisses. Nous avons essayé la grande roue. Faire quelque tour à vélo. Et enfin on étaient fatigués. On traîna nos fesses sur un banc du parc.
Un petit moment avec lui je voyais plus en lui cet homme distant, froid. Je me suis même surpris entrain de rire avec lui. Ce moment était magique.
Quelques gouttes de pluie me fit sursauter de mon rêve.
- il est tard et la pluie crache je crois qu'on devraient rentrer ( dit-il)
- je suis d'accord
Il reprit sa moto et défilait dans la nuit profonde. La pluie venait de plus en plus fort. Tandis qu'il fesait de son mieux. On étaient a contre sens du vent ce qui ne lui facilitait pas la tâche. Et enfin il cria...
- on ne pourra pas y arriver nous allons nous abrité non loin d'ici.
- d'accord (criai je comme pour me faire entendre)
Après quelques minutes nous atteignîmes une cabane une très jolie cabane.
Il descendit et frappa a la porte mais rien, il sortit ces clé et on entrèrent.
La maison n'était pas aussi impeccable de l'intérieur.
Je dévisageait lentement chaque détail. Une pile d'assiette sale de la poussière partout et des habits masculin recouvrait la pièce.
- je ne vais pas dormir dans cette saleté
- c'est mon cabane il y un ami qui y séjourne pendant quelques temps
- est ce qu'il connait le mot aspirateur.
- bon on commence par quoi
- enlever ces habits mouillé
- t'as raison.
Il rentra dans une chambre suivie par moi.
Il fouilla dans le placard puis me lança une short courte noir c'était vraiment très courte, on dirait une culotte et un Petit tope.Il se vêtu d'un maillots noir et d'un short
- elle sont au moins propre ces habilles? (dis-je)
- espérons le
- elle appartient à qui?
- il vivait avec sa sœur sûrement a elle
- d'accord
J'enfile les petits trucs. Je file à la cuisine faisant la vaisselle, nettoyer les placards, essuyer l'évier.
J' enlève tout les habits du salon les mettant dans une panier a linge sale.
Je passe l'aspirateur puis la serpillière.
Je monte dans les chambre, chercha des drap Propre et l'étale sur les petits lit. passa l'aspirateur, vidant les poubelles, nettoya les toilettes. Repliant les quelques habits propre, puis essuya les meubles.
J'étais a bout de souffle.- T'as fini
- hooo oui je suis fatiguée je vais me coucher.
Je choisis une chambre, la plus confortable bien sûr. Je m'étendit sur le petit lit. Le lit était près de la fenêtre qui donnait sur la forêt. Je me couvrait de la tête au pied. Il y avait des orages. Je détestait les orages.
Soudain l'écho d'un orage me fit sursauter suivie d'une éclairJe me leva d'un bond me dirigea dans la chambre de Jonas a toute allure et m'introduit dans sont lit. Il souriait.
Comme on se détestait plus il n'allait pas me repousser.C'est après m'être calmer je me suis souvenu que je portais que des vêtements léger. Mais désolé le mal est fait.
Je tramblaient de froid fesant claquer mes dents. Il me tira vers lui et c'est a ce moment que j'ai remarqué qu'il était torse nue.
Sans mentir la chaleur de son corps me procurait un bien de fou. Je ne résistait pas, mais plutôt j'en profitais.
Je sentis sa main lisse descendre entre mes seins et s'attarda sur mon ombril. remonter sur ma jambe puis descendit a nouveau, sa poitrine battait a grand cou comme s'il n'arrivais plus à se contrôler. Il me serra encore plus fort. Et posa ces lèvres sur mon cou. Me fesant des doux petit baiser, il vacillait ses droit sur mon corps.
Je me laissait emporter dans un autre monde
Son monde a lui...Sa main fugueuse s'aventura de plus en plus sur un terrain dangereuse.
Je refusait de l'en empêcher. Et petit a petit il goûtait au fruit défendu.
Ce qui me procura une décharge électrique dans tous mon corps, je respirait a petit sarcasme, avala quelques bouffer d'air.
Son souffle chaud se posait sur mon cou ce qui me fesait vibrer a l'intérieur qu'à l'extérieur. Je n'étais plus moi même, mes yeux capitule a leur tour et se ferma.
C'était comme si je n'étais plus maître de mon corps. Il me prenait en possession.Ses mains au dessous m'électrocutais . Tandis que ses lèvres sur mon cou me foudroyait.
Il le fesait avec une douceur qui ne demandais pas de réplication.
Soudainement d'une force vigoureux, il pressa ces mains entre mes jambes ce qui me coûta un petit gémissements de douleur mêlée a celle d'une excitation. Puis il me retourna face contre lui tout en me serrant encore plus fort. Je le vis sourire a l'ombre d'un éclair. Comme s'il l'avait fait exprès juste pour pouvoir entendre ce qu'il voulait, puis il me blotti dans ses bras.
Le pluie craquait sur le toit...
°•°•°•°•°•°•°•°•°°•°•°•°•°•°•°•°•°•°°••°°•°•°•°•°°•°•°°•
Coucou les mes abonnés, bonne soirée avec ce chapitre bisous 🥰 🥰😘😘😘🥰🥰😘😍😍🥰🥺🥺
VOUS LISEZ
SON REFLET EN ELLE💦👥📌
RomanceCathaleïa 16 ans(bientôt 17) s'est fait enlever, pour une nuit. Grâce a ses facettes vulnérables et innocente à l'abri de sa forte caractère. sans le vouloir elle attire l'attention du beau mafieux Jonas Scott(21ans bientôt 22), qui préfère la gardé...