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Note de l'auteur:
Coucou les loulous ^_^
J'espère que vous appréciez ma petite histoire et que vous allez la lire jusqu'à la fin, je vous promets vous n'allez pas être déçu hi hi ^^
Bref, c'est juste une petite note pour prévenir que ce chapitre est assez sanglant et comme vous vous en doutez, il est très explicitement décrit :)
Les sensibles sont avertis... Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu lis...
Merci encore pour vos lectures, votes, commentaires, et soutient quel qu'il soit <3<3<3
Bisous bisous et bonne lecture...

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Point de vu de Stephen

Le petit ange dans mes bras me sourit innocemment en me tenant le doigt avec une poigne digne des Belograndskaïa. Quel père indigne j'ai été ! Quand je pense que tu as déjà un mois et que pendant tout ce temps je n'ai même pas pris la peine de venir te voir à l'hôpital. Heureusement que ta tante May est venue me remettre les pendules à l'heure. N'est-elle pas formidable ? D'ailleurs, il faut aussi que je m'excuse sincèrement auprès de ta mère, elle a du souffrir de mon absence dans ce moment si difficile pour elle. Tu as les mêmes yeux qu'elle... Mon fils... Adam, tu marques le début d'un nouvel air pour cette famille...

- Désolé d'interrompre tes retrouvailles avec ton batard... *tousse* Mais si tu veux me tuer, achève moi maintenant

Je pousse un long soupire d'exaspération avant de lever mes yeux sur le déchet qui ose m'adresser la parole de manière si arrogante malgré son état. Ce bon vieux Rodolf Varshavsky, chef de la famille Varshavsky, et d'ailleurs, seul membre a vraiment tenir à la mafia, un ancien aristocrate assez vieux pour avoir côtoyé Hitler. Lui qui m'a toujours regardé de haut à cause de ses trois ou quatre contactes un peu trop bien placés. Il s'est enfuit a la seconde où il a eu vent de mes projet, il est allé se cacher dans un trou de souris d'où il a manigancé un plan des plus stupide, déloyale et vicieux. Et le voilà maintenant, nu comme un vers, suspendu par les pieds écartés et enchainés au plafond de cet ancien entrepôt lugubre et abandonné au milieu de nulle part. Pourtant, il trouve le courage de se montrer arrogant. On verra bien jusqu'à quand.

Avant toute chose, je remets le bébé entre les mains d'un de mes plus efficace homme de main, celui même qui a retrouvé cette ordure. Il a toujours le visage a demi masqué, ne laissant voir que ses yeux bleus et ses longs cheveux bouclés. Mais je m'en fiche de savoir qui il est, il est loyale et efficace, c'est le plus important. Je lui donne donc l'ordre de rapporter cet enfant auprès de ses mères, dans les plus brefs délais. Il acquiesce et se met aussitôt en route. Je me reconcentre ensuite vers ma victime et ne peux retenir un sourire de satisfaction.

- Alors où en étions-nous?

- Tue moi ou crève, mais dépêche toi

- Te tuer? Juste comme ça? Non, ce serais trop injuste de ma part. Nous sommes dans un pays libre et démocratique, je ne peux pas te punir sans te juger loyalement. Alors, monsieur Rodolf Varshavsky, vous êtes accusé du meurtre de trop d'innocents, dont deux de mes magnifiques femmes, de tentatives multiples de meurtre envers moi et ma famille, et du kidnapping de mon fils. Que plaidez-vous?

- Va te faire enculer, espèce de sac a merde. Si tu ne voulais pas que tant de personnes meurent, il te suffisait d'être aussi intelligent que ton père, et de me vendre tout ce que tu as. Tu devrais même me supplier de tout prendre, tu ne sais pas te servir de toute cette richesse. A la place tu épouse des putes, pond des bâtards...

- Ouais ouais, garde ton discours pour la faucheuse quand tu la verras. En attendant, en raison des preuves en ma possession et de la haine inconditionnelle que je te voue, tu es reconnu coupable et condamné à...

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