La Saveur De L'amour

Chapitre 32

Salvatore avait réuni tout ses hommes dans son bureau pour planifier une attaque grandiose pour Marco et lui faire payer toutes les larmes qu'Énora avait versé,  comme il lui avait promis le mafieux compte faire de cet homme un exemple vivant pour avoir osé faire du mal a la femme qui l'aime .

- Nous attaquerons demain soir a une heure très tardive de la nuit nous allons attaquer sa maison et tout ses propriétés nous allons exploser ses navires et détruire tout ses entrepôts , moi et Paolo nous serons responsables de Marco et chez lui tandis que les autres seront dispersés un peu partout et surtout ici pour protéger Énora.

- Oui patron. Ditent ils tous en même temps

- Vous pouvez disposé maintenant. Dit il en s'asseyant sur son fauteuil

Son cœur lui fessait de plus en plus mal , il avait beau prendre ses médicaments mais ça s'estompe que quelques heures Salvatore avait un seul remède et il est quelque part dans cette villa en y pensant il sourit en se levant pour aller la voir car tout simplement elle est devenu son besoin vital il ne pouvait pas passer sa journée son la voir où l'embrasser , le sœur lumineux d'Énora est une paix pour lui. 

Il savait pertinemment ou la trouver , son endroit favoris la cuisine où elle pouvait passer tout son temps sans s'ennuyer et c'est vrai avec son tablier autour de sa taille ses cheveux relevé en un chignon ou ses boucles ressortent son corps de déesse qui bouge au rythme de la musique sur la radio , Énora pétrie sa pâte en chantant son petit nez plein de farine elle est si mignonne ainsi .

Salvatore s'approche d'elle en l'entourent avec ses bras par derrière ou elle continue de danser en se frottant à lui et comme elle sait que ça lui fait de l'effet elle rit de plus belle en entendant son grognement.

- Je vois que tu t'amuses mais je te promet que moi aussi je vais m'amuser à te faire crier . Murmure t il en embrassent son cou

- Je vois pas de quoi tu parles ? Je cuisine et je danse où est le problème dans tout ça ? Dit elle en souriant malicieusement

Il prend un peu de farine et lui jette sur son visage ce qui l'a fait rire de plus belle , elle se retourne face à lui et ils se regardent amoureusement en se caressent rien ne peut arrêter leur bonheur chacun d'eux à trouver ce qu'il avait besoin chez l'autre ils se complètent et rien ne peut les séparer, Énora et Salvatore empêchent leur douloureux passé de se mettre entre eux et de créer des barrières de protection pour chacun mais est-ce que le mafieux tiendra à ça pour longtemps ?

- Je veux te demander quelque chose. Dit elle en le regardant droit dans les yeux

- Tout ce que tu voudras , dis moi la Mia vita .

- Je veux que tu suis un médecin traitant pour ta maladie, j'ai fait beaucoup de recherches et j'ai trouvé que c'est très dangereux que ton sang passe à travers le trou de ton cœur surtout su tu te blesse tu risque de mourir sur le coup . 

Salvatore lui sourit tristement en prenant une de ses boucles entre ses doigts, cette petite femme est la seule à s'inquiéter pour lui personne ne l'a fait auparavant et cela lui touchait au plus profond de son âme. 

- Je serai prêt à mourir après avoir vécu un tel bonheur, je t'ai rencontré je t'ai aimé comme un fou je me libère petit à petit de l'emprise de mon passé j'ai vécu ce que je n'ai jamais pensé vivre de ma vie tu es entré dans ma vie dans un moment inattendu au début je ne voulais pas que tu en soi parti mais tu étais insistante et tu y a parvenu sans que je n'y puisse me rendre compte , tu me rends heureux Énora alors je ne regrette rien si je dois mourir.

- Mais ..tu va me laisser seule dans ce monde ? Ça ne te fait pas mal de vivre sans moi ? Nous n'avons encore rien vécu de beau et nous sommes toujours jeunes. Dit elle tristement

- Oh mon amour je serai toujours avec toi n'oublie pas que tu porte mon cœur en toi je veillerai sur toi de la haut à chaque fois que tu regardera le soleil tu me verras même de loin je t'aimerai toujours. 

- Salvatore..

- Chut embrasse moi et laisse moi fondre en toi . Dit il en approchent son visage prêt du sien

Il l'embrasse fougueusement en mettent sa main derrière sa nuque pour pénétré sa bouche avec sa langue exporte mais quand soudain Salvatore sent qu'Enore ne répond plus à son baiser et à peine avait il séparer leur lèvres qu'elle s'évanouit dans ses bras .

- Enora ! Énora tu m'entends ? Ouvre tes yeux mon amour . Dit il en lui tapotant doucement la joue

Il l'a porte en dessous ses cuisses pour courir jusqu'à la voiture et l'emmener a l'hôpital, tout le long du chemin il l'avait serré dans ses bras en lui suppliant de ne pas le laisser , c'est à ce moment là que Salvatore sent la noirceur regagner sa vie .

Dans la salle d'attente , il cru que les minutes deviennent une éternité aussitôt arrivée les médecins l'ont pris en charge avec un menace de sa part de les nuir si il lui arrive du mal .

- Monsieur Rossi ? L'interpella le médecin traitant

- Qu'est-ce qu'il lui arrive ? Pourquoi c'est elle évanoui ?

- et bien félicitations madame Rossi est enceinte au premier mois et c'est tout à fait normal aux premiers mois qu'elle se fatigue mais elle doit prendre soin car les premiers mois sont très délicat.  Annonça le médecin

Salvatore reste figé sur place recevant cette nouvelle qui devrait être merveilleuse mais pour lui c'est tout à fait le contraire, c'est affreux qu'il attendait un enfant ces moments avec Énora étaient si passionné qu'il avait oublié de se protéger et elle aussi d'ailleurs.

- Elle est réveillé vous pouvez la voir mais vous devriez attendre que le sérum termine pour l'emmener a la maison , je lui ai prescrit quelques vitamines à prendre mais elle doit se faire suivre pour bientôt. 

Sans un mot de plus ou de moins , Le mafieux entre dans la chambre ou la jeune femme y était à sa vue Énora ne fut guère rassuré par les traits durs de son amant, elle devait avouer que cette grossesse étais inattendu mais ça finirai bien par arrivé et elle savait très bien pourquoi le mafieux agissait ainsi .

- Salvatore je ..

- Tu vas t'en débarrasser Énora je ne veux pas d'enfants et je n'en voudrais jamais est-ce clair ? La coupa t il fermement

Surprise par les propos cruels de l'homme , Énora eut les larmes aux yeux comment pouvait il se débarrasser si facilement de son enfant ?

- Je crois que j'ai un mot à dire n'est-ce pas ? C'est aussi mon enfant. Répondit elle sèchement

- Je n'en veux pas ! Tu va t'en débarrasser c'est un ordre . Cria t il