chapitre 14. poignée de mains

168 13 50
                                    

Il est 7H50 quand le réveil sonne, je sens Pierre bouger, il peut dormir alors je le laisse profiter, j'allais me lever au moment ou je sens un bras me retenir.

Pierre : endormi, mhhh nan te lève pas.

Moi : Pierre je dois y aller, j'ai vraiment envie de rester avec toi mais je peux pas.

Pierre : me serre contre lui, mhhh reste, va pas en cours.

Moi : me retourne vers lui, mon coeur je dois y aller tu sais qu'ils sont relou sur les absences...

Pierre : oui je sais, bon vas-y.

Moi : merci chou, de toute façon on se voit ce soir.

Pierre : oui mais eh t'oublies pas quelque chose ??

Moi : orhhh, rigole, oui pardon pierrot.

Je dépose un léger baiser sur ses lèvres humides, puis je pars me préparer pour aller à la fac quand je croise Lise à moitié morte entrain de petit déjeuner.

Moi : bonjour tout le monde, ça va ma biche on dirait que tu vas mourir. rigole.

Lise : meuf je suis crevée j'en ai marre, j'ai même pas envie de passer à l'oral.

Moi : oh m'en parle même pas, parle plus fort, moi je viens que pour le prof de toute façon.

Pierre : tu sais que je t'entends toi, commence pas. rigole.

Moi : ah les hommes. rigole.

Lise : tous les mêmes.

Moi : tous !!!!

Pierre : oublie pas de m'enlever de cette catégorie.

Moi : lève toi et on verra mon chou.

Lise : il y a que toi pour faire lever Pierre aussi vite.

Moi : hahahaa il a l'habitude avec moi à force.

Lise : c'est vrai que toi tu te lèves tôt.

Moi : ouai même toi t'en avait marre jpp.

Lise : en début d'année j'avais des messages de toi il était 7H12.

Moi : la journée appartient à ceux qui se lèvent tôt nan ?

Lise : oui mais aussi à ceux qui sont prêts.

Moi : oui faut peut être que j'aille me préparer je reviens.

Pierre :

Chloé vient de partir à la fac, j'avoue que j'avais envie qu'elle reste, je suis vraiment bien avec elle, c'est inédit parce que mes anciennes relations comment dire c'était pas ça, mais aujourd'hui je suis vraiment heureux et je crois que mes parents et ma soeur sont contents pour moi, je dois avouer que ça aussi ça me fait du bien. Je décide de me lever et d'aller manger un truc.

Maman : coucou mon fils ça va ?

Moi : dépose un bisou sur sa joue, ça va et toi ?

Maman : oui ça va.

Moi : j'ai trop faim, les filles terminent à quelle heure déjà ?

Maman : 17H30.

Moi : m'afalle sur le plan de travail, oh c'est dans longtemps.

Maman : bah alors Chloé te manque déjà ???

Moi : nan nan, elles ont une grosse journée quoi.

juste entre nous - Pierre Garnier Où les histoires vivent. Découvrez maintenant