chapitre 21. journée à deux

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10H30 :

Je me réveille doucement quand je sens Pierre bouger, il se tourne vers moi, je sens sa tête dans mon cou, il m'embrasse tendrement, je me retourne et passe mes bras autour de sa taille, je le serre fort, il est torse nu, son odeur corporelle vient titiller mes narines. Je regarde l'heure sur le réveil, il est 10H32, j'ai pas vraiment envie de me lever.

Moi : je veux pas me lever.

Pierre : moi j'ai faim, on petit déjeune et on retourne se coucher ça te va ?

Moi : me lève, ça me va, mais reste torse nu, que j'ai une belle vue quand je mange.

Pierre : passe ses bras autour de ma taille, dans ce cas tu restes en culotte nan.

Moi : pointeur va !!!

Pierre : remets ma mèche derrière mon oreille, je les aimes jeunes qu'est ce que tu veux.

Moi : tu vas les chercher à l'école finalement.

Pierre : tu crois que je suis venu ou pour toi ?

Moi : pfff n'importe quoi, t'as même pas fait l'effort de ramener des bonbons.

Pierre : éclate de rire, nan mais toujours plus toi.

Moi : avancer vers la cuisine, bon aller on va manger.

Pierre : j'aime beaucoup la vue que j'ai.

Moi : rigole, arrête toi un peu.

Pierre : m'attrape par la taille, c'est pas des céréales que je vais manger moi.

Moi : Pierre arrête commence pas...

Pierre : bon ok j'arrête, mais après on va se coucher, je veux encore dormir.

Moi : mais nan, moi je vais pas réussir à redormir.

Pierre : tu insinues que l'homme incroyable que tu as devant toi, qui a un corps d'athlète ne t'endors pas ?

Moi : mais pierrot, rigole, mais ça va pas toi, nan mais, m'approche et pose ma main sur son torse, mais ce bel homme devant moi a fait en sorte que je dorme bien donc je n'ai plus besoin de sommeil.

Pierre : tu vois la c'est toi qui me drague.

Moi : je fais glisser mon doigt sur son torse, je vois pas du tout de quoi tu parles.

Pierre : ouai fait l'innocente.

Moi : nan en vrai t'as raison, mais j'avoue que j'ai vraiment envie de te faire un câlin, sous la couette encore chaude, contre ton torse bien large comme j'aime.

Pierre : j'aime pas mon torse, mais t'as capté quoi.

Moi : prends ses joues dans mes mains, eh mon coeur, tu es très beau crois moi.

Pierre : pars s'asseoir sur le canapé, nan...

Moi : m'assois à côté de lui, pourquoi tu doutes autant de toi dis moi tu sais que tu peux me parler.

juste entre nous - Pierre Garnier Où les histoires vivent. Découvrez maintenant