chapitre 17. images volées

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27 mars 2025 :

Nous sommes un jeudi matin, mes parents sont au travail, ma sœur aussi, avec Pierre on se réveille tranquillement. Je le sens bouger, en ce moment je suis d'humeur très amoureuse, dès que je peux avoir ma peau en contact avec la sienne, ou même nos lèvres. Enfait dès que je peux lui montrer l'amour que j'éprouve pour lui je saute sur l'occasion.

Pierre : caresse ma joue, salut toi ça va ce matin ?

Moi : pose ma main sur son torse, très bien et toi ?

Pierre : plutôt bien aussi.

Moi : j'en suis heureuse pierre...

Pierre : Chloé, je sais que ça été compliqué entre nous au début de la tournée, que la distance nous a blessé, on s'est pas mal engueulé. C'était une période si dure, mais aujourd'hui j'ai l'impression que ça nous a renforcé, nous, notre amour...

Moi : ohhh mon Pierrot, je sais à quel point tu as souffert, à quel point on a souffert, mais aujourd'hui, à l'heure où je te parle, ou je te regarde et je te touche, sache que je t'aime et que tout ça nous a rendu plus fort, je ne veux plus jamais te laisser.

Pierre : caresse ma joue, je t'aime Chloé...

Moi : je t'aime pierre...

Je termine par me blottir dans ses bras, on reste posés à sentir notre odeur mutuelle, à parler de tout et de rien, de nos envies, de sa tournée, de mes cours, de nos projets futurs. Pour une fois, je n'ai pas cours aujourd'hui, on va passer une journée tranquille à la maison. Mais en attendant on reste comme ça pendant une vingtaines de minutes.

Moi : on va petit déjeuner mon coeur ?

Pierre : je veux des céréales !!!!

Moi : rigole, oui oui tu vas en avoir.

Pierre : m'embrasse et se lève, aller on y va du coup.

Moi : le mec je lui dis qu'il y a des céréales ça le fait se lever mais ????

Pierre : je dis jamais non à des trésor, hein mon trésor. clin d'oeil.

Moi : c'était pas ouf mon coeur mais si tu veux.

Pierre : fais attention je vais sévir si tu continues.

Moi : clin d'œil, ça dépend de quelle manière si tu vois ce que je veux dire.

Pierre : ça c'est pour après t'en fais pas.

Moi : mhhh bon aller on va manger.

Pierre : m'attrape le poignet, toi tu me chauffe et tu passe à autre chose direct ???

Moi : ça va aller mon chou tu vas t'en remettre.

D'un seul mouvement, il me pousse sur le lit, puis me grimpe dessus, il commence par remettre une mèche derrière mon oreille, puis à caresser mon visage, et descend jusqu'à ma clavicule dénudée. Il commence à parsemer mon cou de doux baisers. Je passe mes jambes autour de sa taille et passe mes mains dans ses cheveux détachés.

juste entre nous - Pierre Garnier Où les histoires vivent. Découvrez maintenant