La fameuse soirée

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Point de vue de Draco :

Me voilà auprès de Pansy en train de marcher dans Pré-au-lard afin d'aller à la fameuse soirée.

Tu vois que cette tenue te va bien !

En même temps c'est la tenue que j'avais choisi donc bon.

Pfff.

C'est la deuxième fois en deux heures où elle me dit qu'elle a super bien choisi mes vêtements pour ce soir alors qu'elle sait pertinemment que c'est moi qui ai choisi mes fringues. Soit un pantalon de costume noir avec une chemine noir, assorti avec une fine chaîne dorée au cou.

Cela fait cinq minutes que nous marchons sur le chemin doré (oui ils ont vraiment fait un chemin de la couleur de la soirée pour nous dire la direction à prendre). Bon au moins, on va pas se perdre avec ça.

J'entre dans la tente où se passe la fête et voit que l'intérieur est absolument immense. Il y a un orchestre dans le fond qui joue une musique connu du monde des sorcier « O Children ». Il y a un grand escalier devant nous comme dans les contes que nous descendons.

Point de vue de Hermione :

Je marche sur le chemin doré pour y voir une tente au loin. Je m'approche encore pour constater que c'est le lieu de la fête. J'entre pour y voir un grand escalier menant dans la salle de danse que l'on voit dans haut.

Je descends les marches doucement, peur de tomber avec ses chaussures que je n'ai jamais porté auparavant. Je cherche un regard pendant que je descends prudemment l'escalier jusqu'à les trouver. Ses yeux bleus. Il est magnifique.

Point de vue de Draco :

Pansy parle avec Théodore, un gars de notre maison que je n'aime pas beaucoup. Je regarde à nouveau les escaliers pour voir ma Gryffondor arrivé dans une magnifique robe courte et noir à paillettes.

Ma mâchoire se décroche pour la voir dans cette tenue qui lui va à ravir. Elle a opté pour une paire de talons noires assortis à sa robe qui doit la grandir de 10 centimètres.

Ses cheveux sont lisses et elle porte un collier doré avec trois bagues en or. Elle tient également un sac à bandoulière noire, classique, mais très joli.

Elle ressemble à une déesse comparé à Pansy dans sa robe dorée presque flashi et à paillettes qui me donne mal au crâne. Je suis sûr que même dans le noir, on la voit parfaitement avec cette tenue.

Ouais, Hermione est une déesse.

Elle aussi semble me dévisager et
contempler ma tenue qui, je l'espère, lui plaît.

Elle s'avance vers moi en me regardant droit dans les yeux, un petit sourire aux lèvres.

Salut Draco.

Salut, tu es absolument magnifique Hermione.

Merci beaucoup. Tu es très beau dans cette tenue.

Merci. Donc... tu as un cavalier ?

Non et toi ?

Non plus...

Tu n'es pas venu avec Pansy ?

Si mais elle passe tout son temps avec Théodore et les autres. Depuis qu'on est arrivé elle m'a laissé tomber.

Sérieusement ? On t'a laissé tomber ? Toi !?

Il faut croire que oui.

On rigole ensemble avant que j'ose poser la question.

Tu veux bien être ma cavalière pour ce soir ?

Avec plaisir.

On se sourit avant de passer les deux prochaines heures à danser ensemble.

Draco, je reviens. Je vais aux toilettes.

Point de vue de Hermione :

Je pars aux toilettes où je sors un gloss pour me refaire une beauté.

J'entends la porte des toilettes se fermer. Je n'y prête pas attention puisque cela doit être une fille qui va sans doute faire comme moi.

Je baisse les yeux pour remettre mon gloss dans mon sac et je sens des bras m'enlacer.

Je crois que c'est Draco pendant une seconde avant de me souvenir que ce ne peut pas être lui. Puisqu'il ne se souvient plus qu'on était en couple avant. Et c'est pas en deux heures qu'il va s'en souvenir et m'enlacer par surprise.

Je relève donc précipitamment ma tête pour voir qui est l'individu qui me tient prisonnière de lui.

J'y vois Théodore, un Serpentard avec qui je n'ai jamais discuté avant.

Théodore ?

Oui Mione ?

Pourquoi tu m'appelles comme ça ?

C'est bien ton surnom, non ?

Uniquement pour mes meilleurs amis.

Mais je suis ton meilleur ami, moi.

Nan, loin de là. Je ne te connais même pas.

Alors tu vas me connaître.

Je dois y aller.

J'essaye de dégager ses bras de ma taille mais il ne me lâche pas.

Lâche moi Théodore.

Non.

Mais lâches moi bon sang !

Je pousse de toutes mes forces ses bras mais c'est à peine s'il bouge.

Tu ne vas pas m'échapper Granger. Je t'ai enfin pour moi tout seul et je vais en profiter.

Quoi !?

T'as très bien entendu. Laisses toi faire.

Non !!!

L'étincelle de la provocationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant